Colis piégé
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
fagée,
inconnu,
Collègues / Travail
groscul,
fdomine,
Masturbation
Oral
jouet,
jeu,
humour,
hff,
... tu me donnes en échange ?— Qui tu veux, mais la prochaine fois ! Ben_04, par exemple, il semble bien, non ?— Ah non, pas Ben, il tripote les chèvres !— Alors Catherine ? S’il est aussi infatigable pour baiser que pour écrire ses textes, c’est le coup du siècle.— En plus, c’est un motard, ça me plaît assez. Vendu ! Le regard que me jette alors Brigitte en dit long sur ce qui m’attend. Tout son corps irradie de son envie de mâle, de l’impatience d’être malmenée, longuement, intensément, égoïstement. La décharge d’hormones qu’elle provoque ainsi en moi est particulièrement efficace. C’est une proie raide bandée que Corinne pousse vers l’autel du sacrifice sexuel. — Passez devant, Monsieur l’auteur ! ironise-t-elle, en m’encourageant d’une grande claque sur les fesses, pour mieux manifester sa domination.— Ne l’intimide pas ! Tu sais comme certains auteurs sont fragiles, se lamente Brigitte, qui laisse tomber mon manuscrit au sol pour libérer ses mains. Déjà, elle ouvre ses cuisses, s’offre sans pudeur. Vaillamment, je monte au front. Enfin, sur son flanc droit, pour être précis, où j’entreprends une manœuvre d’encerclement de ses seins, puis de son ventre. Je ne redoute pas le corps à corps, la lutte ultime dans sa tranchée, mais à vaincre sans péril, ne triomphe-t-on pas sans gloire ? Sauf que, ma gloire, elle s’en fout ! Elle veut ma bite, point barre. Les fioritures, au mieux, elle les prendra au dessert. Les narines dilatées, le ventre palpitant, les reins en feu, elle ...
... saisit mes hanches et me force à m’allonger sur elle. Corinne nous accompagne et nous encourage des mains et de la voix. Je m’octroie un dernier instant de contemplation, de délicate sensualité à admirer ce que m’offre Brigitte, avant de la combler de ma virile impétuosité. Puis je glisse ma verge contre la fente de la belle, me préparant à écarter délicatement ses lèvres d’un coup de reins bien ajusté. C’est le moment que choisit Corinne pour intervenir. Bien qu’excitée par nos jeux, elle sait rester raisonnable et vient de réaliser qu’un accessoire essentiel manque à notre conjonction. — Sans vouloir perturber vos ébats, ne serait-ce pas plus prudent avec une capote ? Tu en as une avec toi, non ?— C’est que… j’étais venu chercher un colis, pas l’amour, dis-je en me redressant, piqué au vif.— Tu fais ce que tu veux, ma Brigitte, mais moi, sans capote, je ne joue plus !— Parce qu’il n’y a pas moyen d’en dénicher une par ici ? espéré-je malgré ma frustration de devoir interrompre ce qui semblait si bien emmanché.— Ben non, on vend de tout, sauf ça… Ce serait une bonne idée de le proposer à l’administration. Mais pour l’instant, on ne va pas laisser Brigitte dans cet état.— Vous voulez dire ? demandé-je en descendant de la table, limite débandé.— Finis-la à l’ancienne, comme dans ton texte… Brigitte exprime son dépit de manière particulièrement explicite et irrespectueuse à mon égard. Corinne vient à mon aide pour tenter de la calmer. Il en va sûrement de l’ambiance de travail des ...