1. Colis piégé


    Datte: 21/03/2018, Catégories: f, ff, ffh, fagée, inconnu, Collègues / Travail groscul, fdomine, Masturbation Oral jouet, jeu, humour, hff,

    ... pressées contre ma peau. Je pousse mes mains sous ses fesses. Elle se tortille pour me permettre de mieux investir la place. De mon membre qu’elle tient bien en main, elle s’amuse à effleurer le visage de Brigitte. Pendant de longues minutes, les deux copines se jouent de moi, entretenant savamment mon excitation, sans jamais me faire perdre mes moyens. Pendant qu’en experte, Brigitte fait rouler mes boules entre ses doigts gluants de mouille, Corinne me caresse à pleines mains. Prisonnier de ces démons femelles, je commence à apprécier la lenteur de leurs attouchements, l’interminable prolongation de chaque sensation que leur maîtrise de l’art de baiser me permet de découvrir. Bienvenue dans le monde du plaisir durable… Toutefois, malgré la satisfaction évidente que les femmes ont d’exciter un homme à leur merci, ce ne sont là que des préliminaires. En tant que mec, je suis un instrument de volupté, destiné à participer à quelque chose de plus intense. En tant qu’auteur, elles attendent de moi un chapitre gratiné de la petite histoire de La Poste. Il est temps de passer à autre chose. C’est ce que me fait comprendre Brigitte en interrompant soudain une caresse particulièrement agréable. Alors que Corinne continue de me combler, sa copine prend mon texte, malheureusement inachevé, s’allonge sur la table et commence la lecture, une main posée entre ses cuisses. On entre dans la littérature en prise directe avec la réalité. Je ne suis pas sûr que l’évaluation tourne à mon ...
    ... avantage. — J’espère que tu as eu le temps de finir ton histoire. Ce serait dommage de nous décevoir si près du but ! murmure Corinne.— J’ai bloqué sur le dernier objet.— Laisse-moi deviner, la lampe UV ? T’inquiète pas, je connais ma Brigitte. Au point où elle en est, si le début est bien tourné, elle n’ira pas au bout de sa lecture.— Dans le cas contraire, je ne saurai jamais à quoi cela sert ?— Officiellement, à lire les bandes phosphorescentes sur les timbres (3). C’est un petit jeu entre nous. Parce que des fois, quand on se lâche vraiment, les mecs ont peur et y a plus que les timbres qui bandent. Question de se lâcher, Brigitte est en bonne voie. Comme le pire des lecteurs en rut, elle se contente de survoler le texte à la recherche des épisodes troublants. Lorsqu’elle trouve ce qu’elle veut, elle lit à haute voix le détail de ce que font mes protagonistes, tout en mimant les caresses, les effleurements, les pénétrations, la montée de l’orgasme. Elle le joue si bien qu’elle finit par entrer dans un état second, une sorte de transe sensuelle que plus rien ne pourra interrompre. Chaque phrase est maintenant ponctuée de gémissements, de soupirs, de râles. La scène est fascinante, même si la dame ne se contente pas longtemps de littérature seule. — J’en peux plus, c’est trop bien écrit ! Sois sympa, Corinne, laisse-le moi !— C’était pourtant mon tour d’en profiter, aujourd’hui…— Je sais, mais vous m’avez fait décoller trop vite. Ne me laisse pas dans cet état !— Qu’est-ce que ...
«12...678...»