1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    Mon mari travaille beaucoup. Beaucoup trop ! Et, femme au foyer, je suis très souvent seule à la maison. Avant de notre mariage, il y a plus de vingt ans, j’étais secrétaire dans une entreprise. C’est là que j’ai connu mon homme, c’est là aussi que je suis tombée dans ses bras. A l’époque j’étais assez belle femme, quoique un peu petite et un peu trop potelée, le visage un peu trop allongé à mon goût. Mais ces petites imperfections ne m’empêchaient pas d’être fort courtisée. Bien au contraire, j’étais passée dans les bras de pas mal de collègues de bureau. Ma réputation voulait que je sois, comme on dit, un bon coup. Lorsque j’ai connu Denis, il venait d’être embauché en tant que directeur des ventes. Il m’a tout de suite repérée et a tout de suite voulu « m’essayer ». Je dois dire que ça a tout de suite collé entre nous. Il me baisait comme un dieu et je prenais un pied d’enfer. Rarement un homme m’avait fait aussi bien jouir. Il était attentionné et très résistant. De son côté, j’étais pour lui une « vraie révélation », selon ses propres dires, il n’avait jamais connu une femme aussi chaude qui répondait à tous ses désirs. Je dois dire que sur ce point je n’avais guère besoin de me forcer. Cette parfaite entente sexuelle nous a conduit à pousser plus loin cette relation. Je pense qu’il est très vite tombé amoureux de moi. Moi, de mon côté, un peu moins. J’avais 22 ans, il en avait 12 de plus, et je ne me voyais vraiment pas me fixer quelque part. J’avais plus envie de ...
    ... m’amuser avec mes copains. Ceci dit, Denis avait une très bonne situation, d’autant plus qu’il venait d’une famille assez aisée, tout ceci a bien sûr fait pencher la balance. Et, quand il m’a demandé en mariage quelques mois plus tard, j’ai sauté sur l’occasion. Il n’émettait qu’une seule condition à notre union : Que j’arrête de travailler et que je me consacre à la maison, à nos enfants, à notre bien être. À l’époque je n’avais pas spécialement envie de travailler et j’ai accepté sans réfléchir. La seule chose qui m’avait fait un peu hésiter à l’époque, c’est d’avoir à me consacrer à un seul homme, autrement dit cette sacro-sainte fidélité, souvent cause de tous nos malheurs. D’autant plus que durant les mois avant le mariage je l’avais trompé de temps en temps, parfois même au bureau et presque sous ses yeux. Il voyait trop d’hommes me tourner autour et cela le rendait vraiment jaloux, il me faisait des scènes, parfois à juste titre, d’autres fois sans raison. Je crois que c’est pour cela qu’il tenait tant à m’épouser, pour m’enchaîner à lui et m’enfermer dans sa maison. Quoiqu’il en soit, je n’ai jamais eu véritablement l’intention d’être tout à fait fidèle. La fidélité c’est un marché de dupes et je connaissais, pour ma part, beaucoup trop de filles mariées qui s’envoyaient en l’air lorsqu’elles tombaient sur un bon coup. La vie est vraiment trop courte pour se priver de choses comme ça, la fidélité est une grosse pantalonnade. D’un autre côté, c’est vrai que, restant seule à ...
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