Tout pour la jouissance
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
hagé,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
hotel,
telnet,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... la maison, beaucoup moins d’occasions se présentaient. D’autant plus que nous avons eu nos 3 enfants durant les 5 premières années de notre union. C’est peut-être pour cela que je n’ai pas vu le temps passer et qu’il me reste comme un goût amer, une curieuse impression d’avoir gâché ma jeunesse. Néanmoins j’ai connu d’autres plaisirs, le plaisir d’être mère, celui d’élever trois beaux enfants et d’avoir un mari formidable : aimant, attentionné, bon baiseur et riche, ce qui ne gâche rien. Et, si je fais le bilan, je peux dire que les douze premières années de notre mariage furent quelque part idylliques. Cela commença à se gâter quand Marion rentra au primaire. Marion, c’était la cadette, ma petite chouchoute, ma préférée (mais je ne devrais pas dire ça, je les aime tous les trois). Pour tout expliquer, nous vivons dans un tout petit village qui est jumelé avec un autre bourg à quelques kilomètres. Et il se trouve que, si l’école maternelle est tout près de chez moi, l’école primaire est dans l’autre village, ce qui implique un système de minibus entre les deux localités, ce qui implique aussi que les enfants ne rentrent pas déjeuner le midi. Hors, cette année là, les trois enfants se retrouvaient au primaire. La conséquence immédiate c’est que je n’avais plus rien à faire de particulier le midi, la conséquence finale c’est qu’en peu de temps je me suis complètement laissée aller. Je n’avais plus envie de rien faire, une sorte de mini-dépression. Ajouté à cela que Denis ...
... partait fréquemment en déplacement (à cause de l’extension vers l’international) et qu’il rentrait fréquemment fort tard. J’ai tenu une année pendant laquelle j’ai réussi à sauver les apparences. Notre libido avait considérablement réduit, et pas seulement à cause des absences répétées de Denis. Quand il était là, je dois reconnaître que je n’avais pas non plus spécialement envie de lui, j’étais fréquemment indisposée ou bien souffrante. Il ne s’agissait d’ailleurs pas non plus uniquement de Denis, ma libido en général avait pour ainsi dire disparu. Je n’avais même plus envie de me caresser, j’étais pour ainsi dire comme morte. Tout ceci n’était vraiment pas dans mes habitudes, durant ces 12 premières années je m’étais masturbée très très très souvent, presque aussi souvent qu’avant mon mariage. Et je pense que dans ce domaine je suis largement au-dessus de la moyenne (Il faut bien briller quelque part quand même !). Quant aux aventures extraconjugales, il y en avait eu aussi quelques-unes, pas énormément, mais quelques-unes quand même, je n’avais pas réussi à résister à la tentation, je n’en avais d’ailleurs pas envie ! Mais cette année là : Plus rien. En plus, je m’étais mise à boire, en cachette. Certains jours je me sifflais presque ma bouteille de whisky, quand il n’y avait plus rien, je tournais au pastis. Le soir, je suçais des bonbons mentholés et je m’aspergeais de parfum pour masquer l’odeur. Je filais vraiment un mauvais coton. Mais je n’avais pas encore touché le fond : ...