Tout pour la jouissance
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
ff,
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Oral
pénétratio,
fsodo,
... L’année suivante fut pour moi catastrophique. Je ne m’occupais plus du tout de la maison et à peine des enfants à tel point que Denis fut obligé de prendre une bonne. Il me fit hospitaliser une première fois dans une maison de repos. J’étais un vrai légume, je n’avais plus goût à rien. Pour simplement me lever de ma chaise, c’était un vrai calvaire. J’y suis restée deux ou trois mois. Puis je suis revenue en prenant bien entendu toutes des bonnes décisions. Celles-ci n’ont tenu que deux ou trois mois, ensuite j’ai de nouveau plongé, sombrant à nouveau dans un mélange d’alcool et de psychotropes. J’étais vraiment une loque, j’en avais honte pour mes enfants mais je n’y pouvais rien, je m’enfonçais de jour en jour… jusqu’à ma première TS. Denis m’a retrouvée dans une mare de sang, il paraît qu’on ne peut pas se suicider en se tailladant les veines. Ceci dit, n’essayez pas, j’aurais pu y rester. J’ai été hospitalisée à nouveau. On m’a mise sous anti-dépresseurs et prescrit des psychotropes. Parallèlement à cela, j’ai entamé une psychothérapie. Tout ça a bien duré encore plusieurs mois. Je suis revenue une nouvelle fois à la maison et ensuite, nouvelle rechute, nouvelle TS, nouvelles galères. En tout, plus de trois ans d’intense souffrance psychologique, tout ça pour découvrir à la fin de mon psychanalyse que la vie que j’avais choisie ne me rendait pas heureuse, que tout ce confort matériel me dégoûtait et que j’aspirais à autre chose… Denis, lui aussi, aspirait à autre chose. ...
... Je m’étais détaché de lui et il en avait profité pour se trouver une maîtresse, une maîtresse qu’il a toujours d’ailleurs parce que, lui, de son côté, il est fidèle en amour. Je crois d’ailleurs que c’est quelque chose qui m’écœure chez lui. J’ai essayé de lui parler de sa maîtresse mais quand je lui en parlais, il mettait ça sur le compte de ma paranoïa. Sauf que je n’ai jamais été paranoïaque, en tout cas pas pour ce genre de chose. D’ailleurs je m’en foutais qu’il ait ou non une maîtresse, c’était plutôt histoire de discuter avec lui car j’avais besoin de dialogue. Maintenant j’ai cessé de lui en parler, je m’en fiche de sa maîtresse et je sais que le dialogue n’est plus possible. Par la suite, j’ai cessé de boire pour m’occuper de mes enfants. Mais j’ai compensé avec la nourriture. J’ai pris beaucoup de poids. Je suis devenue un bibendum et, disons-le, obèse. Question sexe, j’avais encore quelques rapports avec Denis mais le minimum syndical. Il ne trouvait pas mes bourrelets très ragoûtants et n’était plus du tout excité par mes seins qui s’affaissaient. J’ai cru un moment que je n’étais plus du tout excitante et que je n’intéresserais plus personne. Je venais de dépasser la quarantaine, que j’avais fêtée bien tristement. Je m’étais aperçue tout d’un coup que je n’avais plus d’amies et peu de connaissances, en dehors de la famille et des inévitables parents d’élèves. Je passais mes journées à la maison à me ronger les sangs. Et, même si la dépression était derrière moi et ...