1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... vigoureux, ses grosses mains calleuses maltraitant mes seins par derrière. A la fin de cette séance, il a retiré le condom et m’a faite agenouiller pour le sucer, en me tenant la tête jusqu’à ce que j’avale son foutre, avant de me laisser filer. La nuit suivante j’ai très mal dormi, ce vieux cochon m’avait écœurée. Pourtant, curieusement, le jour suivant, je suis retournée aux douches, je l’ai attendu tout l’après-midi mais il n’est pas venu. Je n’ai pas parlé de cet incident à mes copines ni à personne d’autre d’ailleurs. Lorsqu’on me demandait quel genre de garçon j’aimais, c’était toujours des garçons de mon âge. Avec un vieux ? Oh non, quelle horreur ! J’avais même failli ne pas épouser Denis à cause de notre importante différence d’âge. Et voilà que je me faisais maintenant un type de 10 ans son aîné. J’en étais là de mes digressions mais Roger s’était réveillé. Il bandait à nouveau ce gros salaud et j’avais toujours autant envie qu’il me baise. Souhaitant le ménager, je le fis allonger sur le dos et vins m’empaler sur lui. Ainsi je pouvais mieux contrôler. Les draps étaient vraiment sales mais sa bite, elle, vraiment bonne. J’allais et venais sans complexe sur le pieu de chair laissant mes gros lolos brinqueballer dans tous les sens. C’était un délice de se faire défoncer par ce vieux grisonnant. Sur sa poitrine on aurait dit une moumoute de poils blancs. Je pris ses mains rugueuses et les posai sur mes tétons, lui intimant l’ordre de les maltraiter ce qu’il fit ...
    ... volontiers et de bonne grâce. J’étais déchaînée, je m’empalais de plus en plus vite, avec toujours plus de force, jusqu’à ce que j’en jouisse et que j’inonde son pubis de ma mouille. A peine remise de mes émotions, je repris de plus belle. J’avais envie de sentir son jus en moi, de le vider entièrement, jusqu’à la dernière goutte, qu’il me donne toute sa liqueur. J’ai jouis une nouvelle fois et j’ai recommencé, encore plus déchaînée, jusqu’à ce qu’il explose grassement en moi… Ouahhh, quel pied ! Il était bien sûr hors de question de se laver dans le petit lavabo. Je me suis rhabillée vite fait. Je savais qu’il était pressé, qu’il devait rejoindre sa femme pour lui préparer à manger. Sur le chemin du retour je sentais son sperme gluant couler de ma chatte baveuse, je n’avais pas remis ma culotte et je me délectais de cet instant. Je n’avais qu’une envie, celle de retourner là las et de recommencer. Arrivée chez moi, je m’aperçus qu’il y avait plein de foutre sur le fauteuil. Je nettoyai vite fait et filai sous la douche. Mais, avant de faire couler l’eau, je pris grand soin de récupérer avec mes doigts le foutre qui coulait le long de mes cuisses et de le lécher. J’étais tellement excitée que j’ai eu à nouveau envie de me caresser. Je me suis branlée avec le jet jusqu’à ce que j’en jouisse encore. Par la suite, je suis souvent retournée chez Roger pour me faire baiser. Mais peu à peu, le plaisir s’est émoussé. À nouveau ce besoin de changer et d’essayer autre chose. Pourquoi se ...