1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... roulé une pelle à la sortie du train en malaxant ma poitrine avec force. Des gens nous regardaient, j’en étais vraiment gênée. J’ai eu peur tout d’un coup que quelqu’un me reconnaisse. Malgré tout, je me suis mise à mouiller. Il sentait un peu le fauve et n’était pas rasé. Moi, de mon côté, je m’étais un peu pomponnée et parfumée mais, selon ses instructions, j’avais gardé ma touffe sous mes dessous de bras. Il y avait un hôtel miteux juste en face la gare. Personnellement j’aurais préféré aller ailleurs, j’en avais les moyens mais André ne voulait pas perdre de temps et tenait à ce que nous allions là. Son train pour le retour était prévu à 18h13 et avions guère plus de 4 heures devant nous. Lorsque nous avons pris la chambre, la tenancière nous a regardé d’un drôle œil. Ça devait vraiment faire mauvais genre, style vieux cochon qui se sort une grosse salope. Mais comme c’est moi qui ai payé, cela faisait plutôt grosse vicieuse insatisfaite qui a envie de s’envoyer en l’air avec le premier venu. Et oui, moi, madame, j’avais envie de me faire sauter pendant 4 heures. Elle m’a fusillée d’un regard méprisant et plein de reproches. Nous avons monté les escaliers quatre à quatre sans perdre une seconde. À peine le temps d’arracher un dessus de lit sale et miteux et André me basculait déjà sur le lit qui, bien sûr, grinçait atrocement. J’étais en jupe et corsage. Il a relevé ma jupe et a déchiré le corsage. Je dis bien « déchiré » ! Les boutons ont tenu mais pas le tissu. Ce ...
    ... rustaud n’y est pas allé de main morte. Lorsqu’il a mis la main entre mes cuisses, j’étais une vraie fontaine. Et, malgré l’haleine fétide qu’il me soufflait dans le nez, j’étais vraiment très excitée. Je m’étais habillée pour la circonstance, un ensemble très sexy et quasi-transparent, acheté évidemment sur Internet mais ce gros lourdaud n’en a su que faire et a tout arraché. Il voulait me voir à poil et, sans plus attendre, me palper, m’embrasser. Ce qui m’impressionnait le plus, c’était ses grosses mains calleuses qui me manipulaient sans précaution. Je savais qu’il faisait son jardin quand il n’était pas sur Internet, mais de là à avoir les mains aussi rugueuses ! Curieuse sensation sur ma peau plutôt fragile. Mais, curieusement, ce manque de tact ne faisait qu’accroître un peu plus mon excitation. Mes seins étaient tout durs, les pointes érigées comme jamais. Elles me faisaient presque mal. De même pour mon clitoris turgescent bientôt assailli par une langue râpeuse. À ce rythme d’attouchements frénétiques, il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir une première fois, un flot de jus amer aspergeant sa barbiche. « Humm ma salope, t’es sacrément bouillante. » Repue, je pus enfin m’occuper de son vit, qu’il présenta sans ménagement devant ma bouche. Ce salaud aurait quand même pu se laver. Il sentait très fort et avait même des traces peu ragoûtantes. Auparavant, une bite comme ça, j’aurais refusé de la prendre en bouche. Mais là, dans la folie du moment, je l’ai gobée avec ...
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