1. Transaction particulière


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fhh, voisins, campagne, intermast, double, Partouze / Groupe jeu,

    ... des garçons m’ont toujours fait de l’effet. — Je peux te prendre en photo ? Je pense que cela pourrait convaincre mon épouse, si elle voyait ce… comment dire… cette belle pièce. Assez flatté, je lui donne mon accord. Profitant de mon érection persistante, il prend son téléphone portable et me photographie, en pied, de face, de dos et en gros plan. — Tu comptes faire une galerie photo ? lui dis-je, un peu surpris par le nombre de photos qu’il a prises. Revenant vers moi, il prend mon sexe dans sa main et se met à me masturber lentement. Voyant qu’il attend de moi que je lui rende la politesse, je m’empare de son pénis, le décalotte et me met à le masturber aussi. Au bout de quelques minutes de ce petit manège en silence, l’envie de jouir se fait sentir. Je l’emmène dans la salle de bain, moi tenant son sexe, lui tenant le mien. Et là, dans les deux minutes qui suivent, nous éjaculons l’un sur l’autre, moi à long traits, comme d’habitude, lui d’une manière plus soft. Nous nous nettoyons, réintégrons le salon et nos vêtements. Après quelques propos qui nous permettent de retrouver notre sérénité, il prend congé : — Écoute, me dit-il, je vais réfléchir à ta… proposition. Je vais en discuter avec ma femme et je te rends notre réponse avant la fin de la semaine. Sur ces bonnes paroles, je le raccompagne à la porte de mon appartement, assez content, dans le fond, de ma prestation. La décision est maintenant entre leurs mains, comme une certaine partie de mon anatomie il y a ...
    ... quelques minutes. Le jeudi soir, je trouve un mail dans ma messagerie : Je réponds aussitôt à son mail : Le lendemain matin, je reçois la réponse à mon mail : Le soir même, j’appelle mon acheteur éventuel – qui devient d’ailleurs de moins en moins éventuel – pour lui dire que je regrettais, mais que je ne pouvais pas donner suite à son offre. Dans la foulée, je téléphone au notaire pour organiser la signature du compromis le lundi suivant. Le dimanche matin, après avoir préparé le repas froid que j’ai mis dans deux glacières souples qui peuvent s’accrocher sur un vélo comme deux sacoches, je prends ma voiture et me rends à C… pour y retrouver Michel et, donc, Martine. Je me suis arrêté en cours de route pour acheter un bouquet de roses blanches et roses, le rouge me paraissant prématuré. J’arrive pile à 11 heures (l’exactitude est la politesse… vous connaissez la suite) ; je sonne à la porte, et c’est Martine qui m’ouvre. Une Martine plus jolie que jamais, vêtue d’un polo jaune paille assez décolleté (il fait chaud) et d’un short très court qui permet d’admirer ses jolies jambes. Pour une femme de quarante ans, elle est vraiment très séduisante. Je m’approche d’elle en lui remettant le bouquet. — Vous permettez que je vous embrasse ?— Étant donné ce qui est prévu, je pense que nous pouvons nous tutoyer, non ? La réponse à « ta » question est : oui, « tu » peux m’embrasser. Et « tes » fleurs sont très belles ; c’est très gentil. Moi qui suis toujours si sûr de moi, je suis ...
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