1. Transaction particulière


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fhh, voisins, campagne, intermast, double, Partouze / Groupe jeu,

    ... à notre tour. Quand arrive le tour de Martine, elle rapproche son siège du bureau et se penche en avant pour apposer son paraphe et sa signature sur tous les documents. Le fait de se pencher en avant permet au notaire d’avoir une vue imprenable sur ses seins, son décolleté étant très généreux… J’observe, pour ma part, le visage du notaire qui se congestionne lentement. Reprenant ses esprits et son sens de l’opportunité, il ne faillit pas à sa réputation : son coude heurte un coupe-papier disposé là comme par hasard. Le coupe-papier tombe à terre ; le notaire se penche pour le ramasser. Il semble avoir du mal à le trouver car il reste plus d’une minute dans cette position. Je comprends sa difficulté à se relever car Martine, pour se rapprocher du bureau, avait décroisé ses jambes et essayé de rapprocher son siège en l’entraînant avec ses fesses, ce qui avait effectivement fait bouger le siège vers l’avant mais, dégât collatéral, avait quelque peu retroussé sa petite robe. J’imagine sans peine le spectacle offert à l’officier ministériel assis – ou plutôt penché – en face de nous : une jolie toison brune se détachant sur le blanc de la robe. S’il reste une minute de plus dans cette position, je crains que nous ne soyons obligés d’appeler le SAMU. Enfin il se relève, écarlate. Martine et Michel doivent penser que ce sont les efforts qu’il a déployés pour récupérer son coupe-papier qui l’ont mis dans cet état. Je ne les ...
    ... détrompe pas. Comme il est de coutume dans ces circonstances, le notaire quitte son bureau par discrétion pour nous laisser régler, éventuellement, des opérations permettant à l’État de ne pas recouvrer la totalité des taxes qui lui reviendraient. En ce qui me concerne, je pense plutôt à profiter de ces instants de liberté pour en prendre quelques-unes avec Martine. Je la fais lever de son siège et asseoir sur mes genoux sous le regard complice de son mari. Et je profite de la deuxième raison qui m’a fait lui demander de ne pas mettre de culotte : je glisse ma main entre ses cuisses, lui masse gentiment le clitoris qui répond à ma caresses en faisant le gros dos, glisse un doigt dans son vagin qui, aussitôt, s’humidifie et commence à la masturber tout en lui prodiguant un pénétrant baiser. Je sais par expérience que ce genre d’intermède ne dure pas plus d’une dizaine de minutes. Ce sera, malheureusement, insuffisant pour l’amener à l’orgasme, mais c’est une façon de sceller notre accord. Effectivement, entendant les pas du notaire se rapprocher, Martine, les joues rosies, regagne son siège et tire un peu sur sa robe pour retrouver un minimum de décence. Ayant terminé les formalités administratives, nous regagnons la maison des nouveaux propriétaires. Par la suite, nous sommes restés très amis et nous avons organisé plusieurs week-ends ensemble, et nous sommes même partis en vacances tous les trois l’année dernière. 
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