Transaction particulière
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fhh,
voisins,
campagne,
intermast,
double,
Partouze / Groupe
jeu,
J’avais reçu en héritage de mes parents une maison située dans un village, C… dans le centre de la France. N’y allant pour ainsi dire jamais – car j’ai moi-même une maison à la campagne – j’ai décidé de la vendre. J’ai donc confié la vente de cette maison au notaire local. En fait, cela fait deux ans qu’elle est en vente, et aucun acheteur sérieux ne s’est encore présenté. Un jour, je reçois un e-mail provenant du propriétaire de la maison contiguë au jardin. Il faut que j’explique que le jardin associé à cette maison en est séparé par une longue allée qui passe le long de la clôture du voisin. Ce voisin – j’ai su plus tard qu’il s’appelle Michel – était depuis très longtemps intéressé par le jardin qui était de ce fait attenant à son propre jardin, mais pas du tout intéressé par la maison. Il m’avait déjà fait une proposition de rachat par l’intermédiaire du notaire, mais je n’y avais pas donné suite car je pensais que j’aurais plus de mal à vendre la maison sans le jardin. Pourtant, le prix qu’il m’en offrait était trois fois supérieur au prix normal du terrain dans ce village. Le notaire, devant l’absence d’acheteur intéressé, m’avait fait baisser le prix à trois reprises. Sans succès. Puis, récemment, il m’avait présenté un acheteur éventuel, mais à un prix très bas. J’avais fait un rapide calcul et j’avais estimé que le prix que mon voisin – Michel – m’offrait pour le terrain, ajouté au prix que je pourrais vendre la maison sans jardin (vous me suivez, j’espère?) ...
... représentait une somme un peu plus importante que le prix que me proposait cet acheteur éventuel. J’hésitais sur la solution à retenir. Je décidai donc de rencontrer ce monsieur et de voir s’il pouvait faire un petit effort supplémentaire. J’avais rendez-vous chez lui le samedi suivant. _____________________ Il me reçoit très cordialement, me propose un café ; nous parlons de la pluie et du beau temps lorsque sa femme fait un bref passage dans le salon, me salue et dit à son mari qu’elle a une course à faire dans la ville voisine. Cette femme doit avoir la quarantaine, est assez avenante, mais un peu maigrichonne à mon goût. En réalité, j’aime les femmes plutôt bien en chair ayant des avantages… avantageux ! J’aborde alors l’objet de ma visite : — Bon, si nous discutions de choses sérieuses ?— D’accord, me répond-il, est-ce que vous avez étudié ma proposition ?— Oui, mais franchement votre prix est trop bas. Est-ce que vous pourriez aller jusqu’à 110 000 euros ?— Vous savez, le prix que je vous ai proposé, c’est le mieux que nous pouvons faire. Par contre, j’ai une proposition à vous faire.— Bon, dites toujours… Je le sens tout d’un coup un peu embarrassé. — Eh bien, voilà : ma femme serait d’accord pour vous laisser aller à quelques… privautés avec elle. D’abord décontenancé par le vocabulaire et par la proposition elle-même, à laquelle je ne m’attendais vraiment pas, je lui réponds : — Qu’entendez-vous par « privautés » ? Je ne sais pas pourquoi, mais je m’attends tout à coup à ce ...