La grosse d'en face
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
h,
fh,
couple,
voisins,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
fouetfesse,
piquepince,
humour,
ecriv_f,
... que je puisse voir ses trous… Où était donc le monsieur ? Le voilà qui arrivait justement. Pourvu qu’il soit en forme… Il était en peignoir. Il regarda sa copine dans le lit, un petit moment. Puis baissa doucement la couette. Je pus me repaître de toute cette peau et de tous ces bourrelets. Elle dormait sur le ventre et pour une fois, le monsieur ne me bouchait pas la vue avec ses fesses. Je pus donc admirer la courbe de son cul. Le monsieur admirait lui aussi. À force de les mater, il me semblait qu’on était deux vieux potes en train de regarder cette belle grosse dormir, avant de se la partager. Sauf qu’elle n’était qu’à lui, je n’étais que passager clandestin dans leurs jeux ! Il ôta son peignoir et en retira la ceinture. Il en tint un bout, roulé dans sa main et fit courir doucement l’autre bout sur les fesses dodues de la demoiselle. La ceinture l’effleurait à peine. La caresse était délicate. Il fit courir la cordelette sur le dos dodu de sa copine. Elle frémit, encore dans les limbes du sommeil. Il continuait son jeu, promenant l’extrémité de la ceinture sur le dos, les fesses, les cuisses, la laissant pendre entre les cuisses qui s’écartaient un peu. La demoiselle ne bougeait pas. Je l’imaginais les yeux clos, goûtant la douceur de la caresse. Le monsieur balança la corde d’avant en arrière. Elle passait entre ses cuisses écartées, certainement mouillées, car les gémissements qui me devenaient familiers avaient commencé. Puis elle passait entre les fesses et ...
... continuait dans le dos, allant se perdre sur la nuque, puis redescendait. Le monsieur la regardait, un sourire aux lèvres, content de la voir se tortiller à sa guise. Il fit ensuite passer sa ceinture de gauche à droite, d’abord sur les épaules, puis sur la taille, puis les fesses, en insistant, en gourmet et puis les cuisses et il remontait, tout doux, attentif aux réactions qui s’intensifiaient. Il accentua alors le balancement latéral et la cordelette venait buter contre le corps de la belle grosse allongée, ou de bas en haut et elle se heurtait aux fesses, en avant et en arrière. Plus le gémissement augmentait en volume, plus le balancement augmentait en intensité. Je me souvins du claquement qu’il lui avait administré, la première fois que je les avais vus. Elle avait protesté, ce jour-là. Là, elle ne protestait pas, bien au contraire. J’admirais le maître à l’œuvre. Il était en train de parvenir à lui faire accepter une sorte de fessée. Et elle aimait ça ! Ma queue aussi, aimait ce spectacle, tout en douceur, tout en maîtrise. Cet homme tenait les rênes. Je songeai furtivement que lui se serait mieux débrouillé que moi, avec la jolie brune. Il ne lui aurait pas demandé si ça ne la dérangeait pas, une bonne petite sodomie… Il aurait fait en sorte, par des caresses, des mots, que ce soit elle qui se traîne à ses pieds, en lui demandant comme une faveur de l’enculer. Les halètements de ma grosse voisine m’excitaient autant que la vue de cet homme en train d’augmenter le rythme ; ...