1. Confessions sur un dolmen


    Datte: 14/07/2017, Catégories: nympho, grosseins, fépilée, fsoumise, noculotte, Oral piquepince, sm, fsoumisaf,

    ... toute récente (ou pire, le passage d’un rasoir !). Répondant à mon interrogation, Karine m’expliqua qu’elle avait subi une épilation définitive complète, les jambes ayant été traitées au laser, et le maillot comme les aisselles par électrocoagulation. Puisqu’elle s’avérait bien plus bavarde que la veille au soir et prête à me donner moult détails techniques, je continuais à la questionner, pour essayer d’en savoir plus sur son parcours et sur sa condition. J’appris donc ainsi qu’elle avait fait des études d’informatique ; partie à San Francisco pour effectuer un stage de six mois à l’issue de sa formation, elle y avait vite plongé dans l’univers des films X amateurs et découvert le sadomasochisme. Après son diplôme, elle est retournée vivre là-bas auprès de son premier maître, la personne qui a commencé à faire d’elle se qu’elle est aujourd’hui… À 26 ans, rupture, mal du pays… Elle est revenue en France, avec pour principaux bagages des seins siliconés à mort, une chatte intégralement et définitivement épilée, et le qualificatif «submissive sex slave » avec son numéro de soumise tatoués sur la nuque. À l’époque, ce tatouage était caché par des cheveux longs. Installée à Paris, elle était le jour, chef de projet BCBG pour une grosse société de services en informatique, et la nuit, la pétasse soumise que se partageaient quelques initiés. C’est de cette époque que datent ses autres tatouages : des motifs aux chevilles et aux épaules, les fameuses jarretières en haut des ...
    ... cuisses, letramp-stamp, et évidemment le mot « SLUT » au-dessus de sa chatte. Enfin, lors d’un week-end sado-maso en province, elle avait rencontré une autre soumise : Oriane. À priori le coup de foudre fut réciproque. Après quelques mois, Oriane avait divorcé de son mari et maître, et se découvrait lesbienne et dominante. Le jour de ses 30 ans, Karine s’était installée chez Oriane, non loin de Rennes. Nous en étions là dans son récit quand nous entendîmes au loin le grondement rageur de la meute de Harley qui revenait vers le village. — Ça va faire presque deux ans que je vis avec elle, conclut-elle en se levant, et c’est la première fois que je raconte mon histoire à quelqu’un. Il faut dire que c’est la première fois que je me retrouve toute seule avec quelqu’un à qui parler. D’habitude je reste seule à la maison, et quand je rencontre du monde, c’est toujours en présence d’Oriane.— Tu ne sors pas de la maison ? Tu ne travailles pas ?— Je fais du télétravail. Je fais du développement informatique et je fais des traductions de documents techniques. Depuis que j’ai cet énorme anneau au septum et ce piercing qui sort de ma bouche, je n’ai aucune chance de réussir à un entretien d’embauche… Sans parler de mon tatouage derrière le cou, avec les cheveux courts ce n’est pas facile à gérer.— Et j’ai vu hier soir que quand Oriane est là, tu ne parles pas…— Oui. Ça fait partie de mes règles de vie. Je n’ai pas le droit de parler en sa présence, sauf si on m’interroge.— Il y en a d’autres, ...
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