1. La découverte


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, frousses, extracon, gros(ses), amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral fdanus, hgode,

    ... être tout rouge. Je suis con, je rêve de cela depuis 6 mois et, là, je fais le grand benêt, mais je suis sûr qu’elle s’amuse de mon trouble. — Mais, mais… je ne veux pas te déranger. J’ai l’impression que j’ai alors le sourire le plus niais de ma vie ! Elle va me jeter, c’est sûr, et ce sera bien fait ! Mais non, elle me prend la main et m’entraîne déjà avec un éclat de rire vers le salon. J’ai alors très envie d’être prisonnier de cette maîtresse femme et de faire tout ce qu’elle me demandera pour lui faire plaisir. Ma queue est plus raide que jamais. Mes mains ont trop envie de la caresser et mes lèvres de l’embrasser. C’est l’amour ! Oh ! je l’aime ! En plus, je m’aperçois qu’elle est déjà en robe de chambre, et qu’elle porte dessous un long déshabillé blanc très vaporeux. Je suis comme dans un rêve. Je vais me réveiller. — Tiens, Sylvain, ouvre la bouteille. Complètement perturbé, je saisis le tire-bouchon et la bouteille. Mais, trop d’émotion, je casse le bouchon. Elle rit. Elle est tout contre moi. Je sens son parfum, la dentelle de sa manche contre mon bras. — Mais, Sylvain, c’est quoi qui te perturbe ainsi ? dit-elle à sa proie avec un sourire presque « carnassier ». Alors, je n’en peux plus, je la prends dans mes bras et je cherche ses lèvres. — Enfin, grand benêt ! soupire-t-elle. Attends ! Maryse va fermer la porte à clé. En revenant à moi, elle laisse tomber sa robe de chambre de satin noir, et m’apparaît atrocement désirable dans un grand déshabillé blanc ...
    ... presque transparent s’ouvrant sur une ravissante nuisette de dentelle. Ma verge est tendue à craquer. Elle s’est assise comme une reine sur le bord du canapé. Moi, je l’embrasse fougueusement puis la couvre de baisers. Les oreilles, le cou, les lèvres encore. Mes mains se glissent dans les dentelles et commencent à caresser ce corps avec infiniment de douceur. Ma bouche descend et s’occupe des seins de Maryse. Vite un téton est dégagé de sa prison de soie et je le suce doucement, goulûment, pendant que mes mains affolées pétrissent ses adorables courbes. Je roule ma tête entre ses seins puis, pris d’une envie forgée depuis des soirs et des soirs de désir, je descends et m’agenouille devant ma reine toujours assise sur le canapé. Je commence à lui baiser les pieds. Maryse porte d’adorables bas rouges. Je remonte le long du velours de ses jambes, les couvrant de caresses, de bisous, de petits coups de langue. Ma tête qui rêvait de cela depuis trop longtemps remonte entre les jambes de Maryse… Mes mains aussi. Quel bonheur ! Ma queue est raide… raide… raide… Elle aussi sera à la fête tout à l’heure. Mes bisous dépassent le haut des bas retenus par un porte-jarretelles et butent à l’entrejambe sur une ravissante et douce petite culotte que je veux enlever. Mais Maryse, qui jouit déjà, m’empêche de retirer la tête qu’elle a emprisonnée sous sa nuisette, et de ses mains la pousse inexorablement vers son vagin, dont je sens le parfum. C’est une coquine petite culotte de dentelle rouge, ...