1. La découverte


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, frousses, extracon, gros(ses), amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral fdanus, hgode,

    ... ainsi possédé par une femme et je me laisse faire. Je suis son jouet. Maintenant, sa main droite me caresse les bourses, l’autre pousse toujours plus loin le vibro. Elle va me faire jouir dans ma tête, comme de partout. La tension est à son comble ! Maryse me possède alors à fond psychologiquement et sensuellement. Pour moi, c’est un bonheur jamais vécu. Elle se met à jouir en criant : — Hoooo… Sylvain… J’te veux… J’te veux… J’te veux… Elle s’agite frénétiquement, comme une folle, sur mon sexe. Moi, je n’en peux plus de me contenir, d’autant que le contact de sa chair et de sa fine nuisette sur ma peau m’ont excité comme jamais. — Attends, attends, ensemble ! Sylvain… J’te veux… J’te veux… J’te veux. Et d’un coup, elle commence à crier : — OUIIIIIIIII ! Là ! Alors, un long jet de sperme est parti au fond de sa chaude grotte d’amour. Puis elle s’est affalée sur moi, mon sexe toujours en elle. Au bout de quelques minutes, après avoir à peine repris nos esprits, j’ai senti sa main qui s’emparait à nouveau fermement de mon sexe. Tandis qu’elle me déclarait d’une voix décidée : — Sylvain, maintenant tu es à moi ! Oui, tu caresses trop bien, j’aime tes grandes mains sur moi ! Je ne peux plus me passer de toi ! Tu m’appartiens. Maryse était une femme de caractère. J’avais à ce moment envie de subir sa domination, envie de devenir le serviteur de sa féminité. J’ai su ensuite pourquoi elle voulait rester en déshabillé vaporeux durant toute notre partie de plaisir, parce qu’un peu ronde, elle faisait un complexe et se trouvait moins désirable. Moi, elle m’a rendu esclave de ses volontés et de sa sensualité pendant des mois, jusqu’à ce qu’un stupide accident d’automobile me rende une liberté non désirée et mon ennui d’avant. Je n’ai jamais retrouvé d’autre Maryse. Hélas. D’autres épisodes de cette relation sucrée et heureuse, dont il reste le souvenir, sont encore à raconter. (À suivre donc…)
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