1. La découverte


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fh, frousses, extracon, gros(ses), amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral fdanus, hgode,

    ... ouverte au bon endroit. Mes deux mains l’écartent et je peux enfin découvrir, du bout de ma langue, le petit bouton d’amour de Maryse. Elle possède un charmant clitoris peu ordinaire qui doit bien faire un centimètre et demi de long. Peut-être un témoignage de son caractère affirmé. Vite mes lèvres gourmandes s’en emparent et le sucent doucement tandis que lentement ma langue tourne sans fin sur son extrémité. Je sens les mains de ma maîtresse appuyer plus encore sur ma tête. Oh ! non pour rien au monde je ne m’échapperais de cette prison de chair, de dentelle et de nylon. En même temps, ma main gauche s’occupe activement des seins de la dame tandis que la droite a encerclé son bassin, le tenant bien prisonnier pendant que ma langue la fait crier et gémir de bonheur : — Oh, Oh, Ohh… Oui, c’est bon…Oui, mange-moi ! Elle crie comme une folle et j’espère que les murs sont épais. Ma main droite caresse la raie de ses fesses. Maryse ondule et gigote comme une folle et j’ai du mal à la maintenir. Mon majeur se glisse dans l’entrée de son petit trou du cul et le caresse. — Non, pas ça ! Pas ça…supplie-t-elle ! Mais je la tiens bien. — Non… Non !— Si, si, laisse-moi, je ne ferai pas plus. Alors, elle se laisse faire. Et puis tout s’active, on perd la notion des choses. Maryse râle, me serrant la tête cette fois comme dans un étau soyeux. Soudain, elle me serre encore plus fort et pousse un grand cri de bonheur. J’ai le visage tout barbouillé de cyprine. Elle m’entraîne alors dans sa ...
    ... chambre. — Allonge-toi, me dit-elle, je t’interdis de faire quoi que ce soit… Elle déboutonne fébrilement un à un les boutons de ma chemise, posant sur ma poitrine de petits bisous. Mon pantalon, mes chaussettes sont vite arrachées. Heureusement, je porte un caleçon assez sexy. Elle embrasse mon sexe à travers le tissu du caleçon et puis l’enlève. Mon sexe est dressé à la verticale. Elle lui met un préservatif et, relevant sa nuisette et son déshabillé vaporeux, qu’elle n’a pas voulu que je lui enlève, s’empale à fond sur moi et commence rudement à me travailler. Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, à regarder cette femme désirée depuis des mois dans son hyper féminité monter et descendre sur mon sexe. De la main gauche, elle s’appuie fortement sur ma poitrine et de l’autre avec son index me doigte l’anus. Je crie : — Oh, ma chérie…Oh là là… Et elle de s’exciter de plus en plus. — Attends, me dit-elle. Elle tend la main et prend, dans sa table de nuit, un vibromasseur en forme de banane, le met en route, le mouille de sa cyprine et, tout en me travaillant les fesses, commence à me l’introduire dans l’anus. À mon tour, je dis : — Non, pas ça ! Mais son regard n’accepte pas de refus. Du reste, comme je me redresse, elle s’empare de mes poignets, les écarte et me replaque sur le lit. Ensuite rapidement, elle recommence de m’enfoncer le vibro que je sens en moi de plus en profondément, et ce malgré ma gêne, car jamais je n’ai usé de telles pratiques. C’est trop bon d’être ...