1. Solitaire


    Datte: 27/03/2018, Catégories: f, ff, Masturbation délire, poésie,

    ... donc pas tentée par mon corps en sueur, Par ma liqueur femelle suintant des aisselles, Un sexe gorgé de vénériennes humeurs ? Ma chatte est luisante et déborde de cyprine, De parfum de luxure et de lasciveté : Voici un océan de fragrances marines Que nous partagerons dans la joyeuseté. Elle voudrait dévoiler, coquine et impudique, Son corps livré au feu de la masturbation, Recherchant constamment, de gestes frénétiques, Le grand frisson dont elle veut l’exacerbation. Elle voudrait l’initier aux joies pornographiques Du spectacle effronté et fort inconvenant D’une personne qui, par un joli trafic, S’adonne à luxure ; n’est-ce-pas avenant ? « Voudrais-tu, pense-t-elle, de mon enseignement À l’activité du sensuel onanisme ? Complices, nous irons à deux coquinement Sur un chemin menant à un doux lesbianisme. Apprécies-tu le son exquis des couinements Qu’aigus je pousse quand je me manuélise ? C’est là un passe-temps puissant divinement : Il est temps qu’à ce sport doux je t’évangélise. » Elle se voit au miroir et s’estime fort belle ; Son appétence n’est pas diminuendo. Entretenant encore sa fièvre sexuelle, Sa propre image fait bondir sa libido. Elle détaille ses seins et palpe ses tétons, Puis écarte les cuisses, les deux lèvres du bas Afin de regarder son turgescent bouton Qui donne l’agrément des farouches ébats. Elle s’envisage star, s’imaginant livrée À la foule qui veut ses charmes contempler ; Dans sa timidité, elle pourra s’enivrer De milliers de regards : ce fantasme ...
    ... lui plaît. Sa vulve est irritée, car trop sollicitée ; Mais il reste l’arrière, et la rosette anale Offre encore des ressources à la belle excitée : Un montant du lit fait un gode artisanal. Pour chercher le plaisir, jamais elle ne recule : De ce morceau de bois humecté de salive Qu’elle saisit d’une main, la voilà qui s’encule Jusqu’au creux du rectum par la chose intrusive. Elle n’hésite pas à l’enfoncer jusqu’au fond : Le vertige n’est pas dans la demi-mesure, Mais dans l’exaltation. C’est dans l’état second Que la met cet objet plongé dans l’enfonçure. Intensivement elle s’explore et se laboure, Le boyau culier s’ouvrant au bois phallique, Ithyphalle(5) fouineur qui profondément bourre Le vase indu, commerce honni des catholiques.(6) Les atouts succulents de ce borgne orifice Qui avale, goulu, un objet contondant Valent le fouillement de ce pénis factice : Le vice est magnifique, il est dévergondant. C’est ainsi qu’en solo elle se sodomise À l’aide d’un objet qui pour ça n’est pas fait ; Elle ne faiblit pas, ni ne s’économise Jusqu’à ce que de nouveau la joie ait triomphé. Le tableau n’est-il pas profondément charmant ? Une belle se fait seulette ses délices. J’affirme sans vouloir choquer en affirmant : Bravo à celles qui se branlent en coulisses ! La bite improvisée à présent fait merveille : La femme prend son pied, de volupté s’inonde ; Puis épuisée, il faut sombrer dans le sommeil, Rêver d’obscénités dans la torpeur profonde. Elle choisira demain peut-être une carotte ...