1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Cette année-là, j’étais parti en vacance d’été avec un groupe d’amis. C’était la première fois que je partais sans mes parents. Nous étions une petite vingtaine, tous de la même université, avec une moyenne d’âge d’environ vingt ans, et avions choisi une destination ensoleillée près de la mer. Nous passions nos journées à la plage et nos nuits à faire la bringue. Un soir, ou plutôt un matin vu comment le soleil commençait déjà à se lever, je quittai notre groupe après une fête un peu trop arrosée pour prendre la direction de l’appart. Trois de mes amis, dans le même état, m’accompagnèrent. Parmi eux, il y avait Julie, mon amie d’enfance. Je devais la connaître depuis au moins dix ans. On se connaissait très bien tous les quatre. On formait d’ailleurs généralement une bande à part. Julie était le cliché de la fille parfaite. Elle avait un beau corps avec de jolies courbes, ni trop maigre, ni trop grosse, de long cheveux auburn, et une poitrine qui faisait rêver. Évidemment, tous les garçons avaient déjà tenté leur chance avec elle, sans succès. Je ne fis pas exception. J’avais moi aussi eu un faible pour elle, mais je pense que mon cas fut pire que les autres : ce n’était pas tant qu’elle ne voulait pas de moi, mais plutôt qu’elle avait peur de perdre notre amitié si notre relation venait à se gâter. Classique... J’ai souvent maudit cette "friend zone" qu’elle nous imposait. Il n’était pas facile de voir ses petits copains défiler, de savoir que tous avaient profité de son ...
    ... fabuleux corps, tandis que moi je n’aurais jamais cette chance juste car je l’ai connu un peu trop tôt. Si seulement je l’avais rencontrée quelques années plus tard... Parfois, cela se joue vraiment à peu de chose. Cela ne l’empêchait pas d’être joueuse et de nous enquiquiner. Elle savait qu’elle était belle, et n’avait pas peur de s’en cacher pour nous allumer. Amicalement bien sûr. Bien que je dois avouer que, maintenant qu’on était en vacance, la voir tous les jours dans son bikini était particulièrement difficile. Elle ne ratait jamais une occasion de se moquer quand mon maillot trahissait une érection. Pour rentrer chez nous, nous devions passer par un parc. À cette heure-là, il était désert, même si les premiers lève-tôt n’allaient sans doute pas tarder à arriver. Julie, à moitié bourrée, nous narguait encore. Elle était toujours dans sa tenue de plage qui mettait ses seins et ses fesses particulièrement en valeur, et certains d’entre nous n’ont pas pu s’empêcher d’avoir les yeux un peu voyeurs. Évidemment, elle l’a bien remarqué. — Rincez-vous bien les yeux les garçons, taquina-t-elle en soupesant sa propre poitrine. À la fin des vacances, ce sera fini, et vous n’aurez plus qu’eux et vos souvenirs pour pleurer. — Tu n’es vraiment qu’une connasse de jouer avec nous ! s’offusqua Jean, un de mes amis. — Mes pauvres chéris, vous avez l’air tellement d’être des chiens en manque. Ce n’est pourtant pas les jolies filles qui manquent sur la plage. Vous n’avez que l’embarra du ...
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