Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... choix pour tirer un coup. Julie avait toujours un franc parlé en ce qui s’agit de sexe. Elle n’avait aucun complexe. Cela ne la rendait que plus désirable. — Steve a bien essayé, mais il s’est pris encore deux râteaux aujourd’hui, fis-je remarquer sur le ton de la plaisanterie. L’intéressé grommela dans son coin. Il était réputé pour être le plus beau mec de notre groupe. Du moins, c’était celui qui avait généralement le plus de succès auprès des filles. Je crois qu’il vivait assez mal son célibat, et surtout, de devoir se serrer la ceinture pendant des vacances où il est entouré de jeunes filles aux corps sublimes. — Aaah, mes pauvres chéris, je ne peux rien faire pour vous. — Tu pourrais peut-être arrêter de nous aguicher, rétorqua Jean. Ca serait un bon début. — Ooooh, allez, vous adorez mater mes seins, nous chauffa-t-elle en se les caressant une nouvelle fois. Vous n’allez pas vous en plaindre. Je pense qu’elle avait eu raison un peu plus tôt : nous devions tous les trois être très en manque. L’alcool aidant, nous avions vraiment beaucoup de mal à nous contenir. Nous essayâmes chacun à notre tour de se rapprocher un peu trop près d’elle pour essayer de la toucher et de la ploter. Elle repoussa chacune de nos avances, sans jamais se montrer vexée. Cela n’aida pas à nous calmer. — Bon, les garçons, cela ne peut plus durer ! s’exclama-t-elle à un moment faussement exaspérée. Au fond, j’étais sûr que cela lui plaisait d’avoir l’attention de trois mecs en même temps. La ...
... suite me donna raison : — Il faut faire quelque chose pour vous ! Je veux bien vous aider, mais à une condition : vous ferez aussi quelque chose pour moi ! Nous échangeâmes quelques regards, perplexe. Nous avions peur de mal interpréter ce qu’elle entendait par "nous aider". Nous pensions évidemment tous à la même chose, mais craignons d’être un peu déçu. — Je vous soulagerais si vous m’aider à réaliser un fantasme, poursuivit-elle. Je refuse que vous me preniez un par un. Si vous me voulez, ce sera les trois ensemble, ici, maintenant, ou rien du tout ! Nous avions du mal à en croire nos oreilles. Elle était sérieuse là ? Elle nous proposait de la baiser à trois ?! Je sais que c’est l’alcool qui parlait, mais quand-même. Je priais pour que les autres ne refusent pas. — Tu es complètement folle ! s’exclama Jean. On va quand-même pas faire ça ici, et à quatre ! On va nous voir ! — C’est vous qui décidez. Ou c’est ça, ou c’est soirée branlette pour tout le monde. Steve regardait Jean de yeux presque implorant. Il était manifestement partant tout comme moi. Jean restait tiraillé entre sa tête et sa queue. Finalement, c’est la seconde qui l’emporta : — Bon, d’accord. Julie nous emmena dans un coin plus tranquille du parc, et nous invita à nous sucer en se mettant à genoux devant nous. Nous baissâmes rapidement nos shorts pour en sortir nos sexes, très excités par la situation. Nous étions déjà tous très dur. J’ai eu le plaisir idiot de constater que j’avais la plus longue. Steve, le ...