Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... J’avais vraiment envie de la souiller comme une pute et de voir notre foutre dégouliner partout sur son corps. Steve passa une main sous son bikini pour lui masser le sein gauche pendant qu’elle le suçait. J’en profitai pour faire de même avec le droit. Putain, les seins de Juju. J’avais trop envie de les voir. Je lui enlevai la bretelle de mon côté pour essayer de lui enlever son vêtement, et Steve m’aida en faisant de même. Les voilà enfin à l’air. Je mourrais d’envie de lui lécher les tétons. Ses délicieux petits tétons. J’espérais en avoir l’occasion. Elle nous pompa à tour de rôle pendant de longues minutes. Ce fut vraiment la meilleure fellation de ma vie. Nous n’arrêtions pas de gémir de bonheur. Elle aimait sucer des bites, il n’y avait aucun doute là-dessus vu la façon dont elle s’appliquait. Elle s’occupa très bien de nous. Elle-même avait l’air d’être aux anges entourée ainsi de queues qui avait envie de son corps. Le pire c’est qu’elle savait si prendre avec plusieurs mecs. — Bon, les garçons, dit-elle au bout d’un moment. Il y en a enfin un qui va se décider à me baiser, ou quoi ? J’ai la chatte en feu depuis tout à l’heure, et je ne peux même pas me caresser parce que je dois vous branler. — Preums, déclarai-je soudain. Je craignis que mon empressement lui donne encore la mauvaise idée de me jouer un mauvais tour, mais, à mon grand soulagement, il n’en fut rien. Je l’aidai à lui enlever le bas de son maillot puis elle se mit à quatre pattes pour me présenter ...
... son cul. — Allez, dépêche-toi de me prendre. Je ne tiens plus ! J’ai trop besoin de me faire bourrer. Je me mis à genou derrière elle et plaçai mon gland à son entrée avant de me pousser en avant. Elle émit un gémissement bien plus fort que le mien lorsque je la pénétrai jusqu’aux couilles. C’était un bonheur sans nom. Je la tins par ses hanches et la baisa à bon rythme. Enfin ! Ma Juju ! Je baisais ma Juju ! Après toutes ces années à fantasmer sur elle, elle était à quatre pattes, soumise à ma volonté. Les autres restèrent là à se branler en train de nous regarder. Ils devaient avoir hâte de prendre ma place, mais pour le moment, elle était à moi, et j’avais bien l’intention d’en profiter. Je me penchai sur elle pour jouer avec ses nichons. Putain, elle avait une de ces poitrines. Je regrettais presque qu’elle ne soit pas en missionnaire pour avoir une meilleur vue et en profiter davantage. Elle devait vachement aimer ce que je lui faisais, car elle gémissait comme une chienne à chacun de mes coups de reins. Elle avait prétendu faire ça pour nous aider à nous soulager, mais la vérité évidente était qu’elle avait juste envie de se faire prendre comme une salope par plusieurs gars. Un fantasme secret révélé par les bienfaits de l’alcool. Elle n’avait plus aucune inhibition, et nous non plus. Tout ce qu’on voulait tous les quatre, c’était de profiter de notre jeunesse à baiser comme des porcs. Julie fixait les queues tendues qui pointaient devant elle, hypnotisée. — Putain, vous ...