1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... allez enfin me donner un truc à sucer ? s’emporta-t-elle contre les deux autres. Ne restez pas planter-là ! Jean s’approcha d’elle et lui présenta son sexe qu’elle avala goulument. Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, elle était maintenant prise des deux côtés et adorait manifestement ça. Elle le branla quelques secondes d’une main tout en le suçant, avant de la reposer à terre de peur de perdre l’équilibre. Elle passa ensuite sur le piston de Steve qui réclamait lui aussi de l’attention. Il l’attrapa par la tête et lui baisa la gorge. Elle eut un haut-le-cœur avant qu’il ne la laisse respirer. Elle n’émit aucune plainte. À ma grande surprise, elle était devenue une vraie pute qui ne demandait qu’à se faire utilisée par trois mecs. Cela m’excita encore plus de la voir ainsi. Ma Juju, ma salope. Je ne la verrais plus jamais comme avant. Je dus à mon grand regret laisser ma place. Steve s’occupa de sa chatte tandis que je me joignis à Jean pour me faire sucer. Steve était bien plus violent que moi. Ses coups étaient rapides et brutaux. Il la traita comme une trainée, et je pus lire dans la luxure de ses yeux que c’était exactement ce qu’elle voulait. Elle frissonna lorsqu’il lui donna une fessée. — T’aime ça, salope ?! l’insulta-t-il. — Putain ! J’adore ! Baisez-moi, tous les trois ! Je suis votre pute, c’est votre jour de chance ! Profitez-en ! Ramonez-moi jusqu’à ce que vous devez me porter pour rentrer ! Ce fut ensuite le tour de Jean de la prendre. ...
    ... D’habitude le plus timide de nous trois, l’initiative qu’il prit m’étonna lorsqu’il s’inséra dans le mauvais trou. — Putain, crétin ! s’écria-t-elle. Ca, c’est mon cul ! — Et alors ? Tu veux que je stoppe ? demanda-t-il sans vraiment avoir l’intention de s’arrêter de toute manière. — Si tu stoppes, je te tue ! le menaça-t-elle. Tu as commencé, maintenant, défonce-moi le cul ! Nom de... Elle était encore plus cochonne que je ne l’avais cru. Bien sûr, j’avais déjà fantasmé sur elle en me l’imaginant en train d’apprécier le sexe anal, mais ça restait un fantasme. Je ne pensais pas qu’elle pourrait aimer ça en vrai. Je me trompais lourdement, et ce n’était manifestement pas sa première fois. Je regrettais presque de ne pas avoir eu l’idée en premier. J’étais si excité que j’avais envie de lui éjaculer au visage sur le champ pour la salir comme la petite trainée qu’elle était ; mais la perspective de l’enculer me tentait trop pour me finir comme ça. Fallait juste que je patiente encore un peu. Jean lui grimpa dessus comme sur une chienne et la lima comme un animal. Il grognait à chacun de ses assauts. Julie était complètement perdue dans son monde de plaisir. Elle avait atteint un tel point qu’elle avait du mal à nous sucer, Steve et moi. Nous dûmes nous servir nous-mêmes en lui baisant la bouche. Elle ne savait plus où elle était. Au bout d’un moment, elle poussa un grand cri. J’ai cru que Jean était en train de se vider dans sa raie lorsque je compris qu’elle jouissait. — Aaaah ! ...
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