1. Deux surprises sinon rien


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fh, fplusag, telnet, revede, pénétratio, init,

    ... petit tour sur « Votre fiche », à la recherche d’informations : Sexe : F Age : 32 Taille : 1m55 Poids : 55 Kg Situation : Célibataire Enfants : 0 Ville : Paris 16° Tu triches un peu, belle-maman. Allons voir l’annonce. Et là, je reste sur les fesses : « Jeune femme sensible, propose travaux pratiques pour tout enseigner à puceau souhaitant ne plus l’être. Majorité exigée. Travail soigné garanti » Ma prude belle-mère, cette femme que Cécile plaignait de ne plus avoir de vie sexuelle depuis vingt ans, elle s’envoie en l’air régulièrement avec des puceaux ! C’est la stupéfaction totale. À tel point que je reste un bon moment parfaitement immobile sur mon fauteuil, le dos appuyé au dossier et les bras pendants, à regarder benoîtement l’écran. Et d’abord, ça ne doit pas être très agréable pour une femme de dépuceler des mecs. L’inverse, je l’ai bien souvent imaginé : un jeune corps souple et beau, craintif et attentif dans mon lit, en début de soirée, le même comblé, reconnaissant et dégoulinant de mon foutre et d’un peu de sang, quelques heures après. Entre ces deux instants, les manœuvres d’approche pour apprivoiser la demoiselle, faire naître l’envie, dominer ou contourner les refus, et enfin la sensation de puissance quand, entre les cuisses, sous les poils, la fente rose et tendre s’entrouvre pour laisser passer mon pieu plus dur que jamais et le plaisir absolu quand la résistance cède et qu’enfin la pine s’enfonce tout au fond, là où rien ni personne n’était entré ...
    ... auparavant. Puis le con, vierge l’instant avant, rempli de grosses giclées de mon foutre, en même temps que l’ex pucelle crie sa joie ou sa souffrance. A la réflexion, je me dis que tout ça c’est bien des idées de macho. Pourquoi une femme n’aurait-elle pas exactement les mêmes sensations lorsqu’elle s’approprie un jeune corps tout aussi souple et tout aussi beau et que, après l’avoir bien excité, l’avoir fait bander à mort, elle le guide vers sa grotte secrète, toute mouillée d’attente, puis ressent dans son ventre le membre dur qui la pénètre, qui la travaille sans bien savoir comment s’y prendre, et qui, en quelques soubresauts, la remplit de son jus. Mais non, tout ça c’est du cinéma, ce ne sont que des gamberges. Tout est virtuel. Le site de Marie et son annonce sont certainement des mots sans rien derrière. L’amour par le net, le cyber sexe, baiser au téléphone, comme dans les pubs de sites cochons. Elle a fait ça juste pour se donner des sensations entre son clavier et son écran. Bougrement intrigué tout de même, et, soyons franc, un peu excité, je retourne sur le fichier volé. C’est le tableau qui m’attire. Neuf lignes. Des prénoms masculins, un par ligne ; OK. Des dates en face, classées croissantes, la première ancienne de huit mois, 16 février 2005, la dernière 25 novembre, la semaine passée. Presque une par mois, rien en août. Et si cette liste était bien celle des puceaux qu’elle s’est envoyée, avec les dates de ses exploits ? Ca pourrait coller, Marie nous a laissé son ...
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