Deux surprises sinon rien
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
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... appartement en décembre. D’après le tableau, son premier contrat de dépucelage est début février. Et puis, j’y pense, Marie a passé juillet et août à Deauville, comme chaque année. Non pas tout à fait comme chaque année, d’ordinaire, elle reste encore un peu en septembre, cet été elle est rentrée le 31. Or il n’y a rien en août et la cinquième date du tableau, c’est le 1er septembre. Ben dis donc, ce ne serait pas des fantasmes, des trucs virtuels, mais bien des réalités. J’en reste sur le cul. Quoique… ce n’est pas parce que, depuis toujours, je vois Marie sans homme, que je ne lui ai jamais soupçonné de vie cachée, qu’elle a nécessairement abandonné toute sexualité. On ne connaît jamais exactement une personne. Et les annonces du net permettent tout. Mais de là à chercher des puceaux ! Dans la colonne suivante, il y a des lettres : A, B et O. Cinq A, deux B, un O. Des groupes sanguins ? Non, c’est idiot. Je ne comprends pas cette colonne. Sur la dernière colonne, il n’y a que trois lignes remplies avec des dates. Et des heures d’ailleurs : 12 décembre 14 heures en face de Jacques, 12 décembre 16 heures pour Alain et 13 décembre 20 h pour Alexandre : C’est dans quinze jours. Ça ne peut qu’être des rendez-vous. Quelle découverte, ma’zette ! Je reste là, assis à mon bureau, rêvant d’un ado qui sonne à la porte de l’immeuble bourge de ma belle-mère, dans le 16ème. Il a trouvé quelques jours auparavant une annonce si particulière sur le net. Particulière, mais correspondant ...
... bien à son attente de complexé absolu. Enfin le truc pour devenir normal, pour sortir de son statut honteux. Mais pourquoi ne pas aller chez les putes ? C’est plus simple. Pas forcément plus simple, une vraie femme ça fait peur, Internet, c’est sécurisant. Sauf que, maintenant, il doit y aller. Sans doute a-t-il eu des échanges d’e-mail qui ont permis de nouer quelques liens. Permis à Marie d’essayer de connaître son futur jeune amant, permis au puceau de s’habituer, de prendre confiance et de se décider. Il sonne. Sûrement un code de reconnaissance sur l’interphone, sinon il ne monterait pas : trop peur. La lourde porte s’ouvre, il entre furtivement, persuadé que tout me monde sait et le regarde. Ascenseur, 5ème étage, la porte en face est entrouverte. Il n’a rencontré personne. Fébrile, il pénètre dans l’appartement. Et là, ça se passe comment ? Peut-être que tout le scénario a été programmé. Il ferme la porte, le couloir est sombre. Il sait que la chambre est au fond à droite. Quand il y pénètre, dans la pénombre, il distingue comme prévu sa déniaiseuse sous les draps d’un grand lit. Il abandonne sans un mot ses habits et entre dans le lit. La trouille au ventre, mais il ne peut plus reculer. Dès qu’il est allongé, la femme le caresse. Elle n’a pas besoin de l’exciter, il bande déjà comme un cheval. Il sent alors que la femme a plongé sous les draps. Cette initiative le déstabilise. Il attendait des caresses, des baisers sur la bouche et c’est autre chose qui arrive. Il n’a ...