Monstrueuse - Accélération
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
laid(e)s,
douche,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
Le lendemain, je suis allé chercher Annick à la sortie de son lycée. J’avais remarqué, en consultant l’emploi du temps affiché dans sa chambre, qu’elle avait cours jusqu’à 17h30. A 17h30 pétantes je faisais déjà le pied de grue sur le trottoir d’en face. Je crois que, lorsqu’elle m’a vu, sa première réaction a été de ne pas y croire. Elle était avec une jeune fille plus grande qu’elle, élancée, filiforme, avec de longs cheveux blonds aux reflets d’argent. Elle a tourné la tête à trois reprises, complètement incrédule, et m’a dévisagé comme une bête curieuse, ne sachant trop que faire ni comment réagir. Apparemment, elle s’attendait à tout de ma part, sauf à ça. Du coup je regrettai presque d’être venu. Quelle mouche m’avait donc piqué ? J’ai même été un instant sur le point de rebrousser chemin. Mais elle a fait deux pas dans ma direction : Du coup, je me suis arrêté dans mon élan. Son amie nous regardait et elle semblait assez estomaquée, interdite, stupéfaite. En un éclair, et de la façon la plus simple qui soit, elle avait, elle aussi, tout compris, et elle ne savait pas trop, elle non plus, comment réagir. Cet échange à trois n’a duré qu’un instant mais un instant qui m’a semblé à moi comme une éternité. Puis, délaissant soudainement sa copine, Annick a traversé la rue d’un bond, sans même regarder ni à droite, ni à gauche, négligeant toute prudence vis à vis des voitures qui circulaient sans se préoccuper d’elle… pour finalement se jeter dans mes bras et m’embrasser ...
... comme une folle. Tout en me laissant aller au délice de ce délicieux baiser, j’ai hasardé un œil du côté de son amie, toujours sagement immobile sur le trottoir d’en face : Elle nous regardait sans ciller mais il y avait en elle beaucoup d’étrangeté et d’incompréhension. — Viens, je vais te présenter Mathilde. Puis, me prenant doucement par la main, elle m’entraîna vers la Mathilde en question : — Mathilde, Pascal… Pascal, Mathilde. Devant le manque de réaction de cette dernière, je trouvai bon d’ajouter : — On pourrait peut-être aller boire un verre quelque part… Tout autour de nous, les lycéens s’étaient arrêtés et nous regardaient passer. Etions-nous des bêtes curieuses ou des hauts dignitaires ? Je n’avais jamais eu l’impression d’être aussi important de ma vie. Nous nous sommes engouffrés dans un troquet bondé, rempli de jeunes branleurs qui braillaient à tout va. Fortement imbibés par la bière, concentrés sur la drague, je crois qu’ils ne nous ont même pas vu passer, sinon il est probable qu’ils se seraient arrêtés aussi sec. Nous avons finalement trouvé une table dans un petit coin et nous nous sommes installés. Durant tout ce temps, nous ne nous étions pas lâché la main une seule seconde avec Annick. — Mathilde, c’est ma meilleure copine. En tout cas, elle n’était pas bavarde. De loin cette grande blonde semblait pourtant plutôt pas mal mais de près, elle avait le visage passablement ravagé par des petits trous, vestiges d’anciens boutons, et ce problème de peau lui ...