1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°732)


    Datte: 29/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... avoir suivi, une dizaine de malles, le Châtelain tombe sur celle qu’il cherche ! : ‘’1900-1925’’ ces deux dates sont inscrites sur l’étiquette. Il ne tarde pas à ouvrir ce coffre de bois où sont remisés divers objets hétéroclites de cette époque des 25 premières années du XX ème siècle. Ces objets feraient le bonheur de plus d’un antiquaire ! Entre anciens uniformes militaires bien protégés contre les mites dans des housses, en passant par lampes à pétrole, armes de 14-18, casque, vielle perruque, cannes, chaussures, chandeliers, encriers, lot de plumes d’oie, bibelots en ivoire, etc … il ne trouve pas ce qu’il pensait trouver, c’est-à-dire des colliers. Au moment où le Noble, déçu, allait fermer la malle, il aperçoit dans celle-ci une épaisseur rectangulaire sur le côté droit intérieur de la paroi du coffre en bois, comme s’il y avait un compartiment caché. C’est bel et bien de cela qu’il s’agit car quand il appuie sur le bois de ce tabernacle incorporé, celui-ci s’ouvre par une ouverture basculante pour laisser apparaitre deux vieux colliers en vieux cuir noircis par le temps. Une laisse en vieux cuir également est accrochée à chaque collier. Le Marquis d’Evans les prend avec précaution et respect dans ses mains se doutant qu’ils ont plus d’un siècle et que derrière ces colliers, il y a du vécu D/s. Il les regarde de près et arrive à lire sur chacun d’eux une inscription encore bien apparente gravée dans le cuir. Sur le premier collier est inscrit ‘’chienne sophie’’ et ...
    ... sur le deuxième ‘’chienne Clara’’. Il réalise, alors, qu’il n’a jamais su le prénom de la comtesse du Dranier et en déduit très vite qu’il s’agit de ‘’Sophie du Dranier’’ et pour l’autre collier de ‘’Clara du Dranier’’ Tandis que le Châtelain est dans cette déduction pleine de logique identifiant l’appartenance de ces deux colliers, soudain, et sans aucun doute, il a la sensation d'une présence derrière lui, ou plutôt de plusieurs présences... A peine s’est-il retourné que face à lui, sont apparues les deux femmes fantômes. Toujours aussi belles avec leur chevelure descendant jusqu’à leurs épaules. Cette fois elles sont venues se présenter, devant le Noble Héritier de leur Feu Maître, entièrement dénudées et … agenouillées ! Elles ont toujours de sublimes formes avec des magnifiques seins aux tétons dressés et hélas, toujours les mêmes et profondes traces de strangulation à leur cou. Un halo de lumière bleuâtre entour leur silhouette. Toutes les deux ont la tête baissée, silencieuses, soumises, dociles, immobiles, elles semblent attendre quelque chose. Ce qui n’échappe pas au Marquis d’Evans qui comprend très vite désormais pourquoi ces trois mots, tantôt, sur la glace de la salle de bain, et pourquoi elles l’ont, en quelque sorte, dirigé ici, dans ce grenier : Les deux femmes fantômes souhaitent à l’évidence et plus que tout que le descendant de leur divin Maître Louis-Alexandre d’Evans, que lui Edouard le Marquis d’Evans actuel, remette lui-même leur propre collier autour de ...