La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°732)
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... leur cou… ‘‘Comment pourrais-je refuser’’ se pense-t-il ! Il ne peut pas refuser ce geste en respect profond à ces deux personnes décédées si tragiquement à cause de leur engagement envers son aïeul, ce qui a eu, comme triste conséquence qu’elles le payent de leur vie terrestre. Alors, c’est avec une émotion emplie de dignité, et en mémoire très respectueuse aussi à son aïeul, qu’il s’avance d’un pas, ajuste entre ses doigts, le premier collier, se penche légèrement vers le spectre de la comtesse du Dranier et lui ajuste l’objet de cuir à son cou, cachant en partie, ainsi les traces de strangulation. Il ne peut s’empêcher de dire quelques mots, presque malgré lui, comme s’il était naturel, normal, plus qu’évident et avec une conviction certaine, pour dire ceci : - chienne Sophie, c’est un privilège qui s’offre à Moi de te remettre ton véritable collier. Tu es revenue d’outre-tombe pour cela, maintenant j’en ai la certitude. Alors que ton souhait soit exhaussé et devient Ma soumise en mémoire de mon aïeul, Louis-Alexandre, qui je sais, tu as tant aimé … Je suis si honoré, vis-à-vis de Lui, d’être ton nouveau Maître… On ne sait, si c’est parce que ses mots prononcés si puissants de sincérité ont un certain effet, mais au moment même où il les prononce, le halo de lumière bleuâtre s’estompe pour laisser apparaitre un corps de femme normal, humaine, sauf la différence de la pâleur de la peau, mais en tout état de cause, elle ressemble désormais à un être vivant, comme dans sa ...
... toute première apparition au vieux manoir abandonné. On aurait donc cru magique ce geste par ce fait incroyable, quand avec les mêmes mots, cela se reproduit à l’identique avec chienne Clara, à la pose de son collier. Le Noble a donc devant lui deux soumises, qui, il faut bien avouer, sont peu communes ! Car pour Lui, le Marquis si cartésien d’habitude, avoir une relation paranormale de Domination/soumission n’est pas banale ! Mais le Châtelain en bon Maître qu’il est, décide de prendre les choses en main, en claquant des doigts puis en montrant ses chaussures. Les deux soumises obtempèrent sans dire un seul mot, d’ailleurs tous les trois, ils se comprennent fort bien et chacun sait ce qu’il a à faire sans paroles, le Marquis doit Dominer et les deux femelles doivent se soumettre ! C’est donc docilement et avec une Dévotion évidente, que chacune se positionne en prosternation en levrette, chacune sort sa langue et lèche longuement le cuir épais d’une chaussure du Marquis qui, peu à peu, se remet à briller, du dessus de la boucle au-dessous de la semelle... Le Châtelain est même admiratif de la très belle vue qui s’offre à lui, il a sous ses yeux deux culs parfaitement arrondis et deux courbes parfaites et deux chutes de reins absolument bien dessinées. Elles sont effectivement très belles, la mère comme la fille … L'observation de ces deux magnifiques corps fait peu à peu monter le désir en lui. Ses pulsions de Dominant prenant le dessus, il sent son sexe qui gonfle et durcit, ...