La Patronne
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fépilée,
campagne,
Oral
pénétratio,
init,
... accomplir dans la journée. — Aujourd’hui mon Jean-Yves, tu vas m’aider avec les cochons, je m’habille et je vais te rejoindre dans la grange. Je ne me doutais pas de ce qu’elle avait en tête cette journée-là. J’espérais seulement ne pas avoir à nettoyer la soue à cochons, je n’aime pas particulièrement l’odeur du purin. Je vis alors la patronne se diriger vers moi d’un pas décidé. Elle était vêtue d’un jean bleu moulant, d’une chemise carrelée à manches courtes qui semblait trop petite pour son corsage et d’une paire de bottes noires en caoutchouc. Elle s’était attaché les cheveux en queue de cheval et avait tout de même pris le temps de se maquiller légèrement. — Bon, mon Jean-Yves, tu vas aller chercher le gros verrat et tu vas me l’amener dans la stalle de la grange. Le gros verrat, je le hais ce vicieux, au corps déformé et obèse.S’il me fait la vie dure, il va tâter de mon bâton électrique, me dis-je. Aussi curieux que cela puisse paraître, j’aurais cru qu’il m’attendait, ce scélérat. Il ne m’a opposé aucune résistance, il avait même l’air empressé de se rendre dans la grange. Lorsque je l’ai libéré dans la stalle, il était tout fébrile. La patronne est arrivée quelques instants après avec une jeune truie d’à peine un an à ses côtés. Le gros verrat, lui, savait ce qui l’attendait. Il se remuait en tous sens, écumant abondement son excitation, reniflant l’air à la recherche d’indices à sa convoitise. La patronne libéra la truie dans la stalle et le gros verrat partit ...
... aussitôt à sa poursuite dans une course folle. — Jean-Yves, as-tu déjà vu des cochons s’accoupler ?— Non madame, c’est la première fois que je vois ça.— Viens à côté de moi et observe bien, tu vas voir, c’est tout un spectacle… Je m’installai à côté d’elle, accoté sur la barrière de l’enclos. Le gros verrat pourchassait toujours sa proie qui essayait tant bien que mal de lui échapper. Peine perdue, il finit par la coincer dans un coin, sans issue autre que de se soumettre à la volonté dominatrice du mâle en rut. Elle se savait prisonnière, la peur perceptible à fleur de peau. Le gros verrat s’approcha lentement de la jeune truie, reniflant fortement l’air ambiant. Son groin finit peu à peu par rejoindre la vulve de la truie, qui n’offrait aucune résistance. Il se mit alors à la lécher frénétiquement de sa grosse langue baveuse comme pour l’amadouer, comme pour la préparer à la suite des choses. — Regarde comme il est bandé le gros cochon, y a les couilles bien pleines de jus. Surpris d’entendre des mots aussi crus de la bouche de la patronne, je restai bouche bée, ne sachant trop quoi répondre. Je regardai le gros verrat, il avait une trique du tonnerre et ses bourses étaient énormes. — Il va la défoncer cette cochonne, tu vas voir… Je voyais bien que la patronne prenait un malin plaisir à voir ses animaux forniquer entre eux. La truie se mit à gémir, elle n’était pas insensible aux caresses incessantes du mâle. Elle se tortillait, offrant sa vulve en pâture. — Elle aime ça, la ...