1. Christine


    Datte: 30/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio,

    ... pas un canon de beauté mais je suis plutôt mignon ; la remarque me vexe un peu. — Ben, quand on propose de ramener une fille chez elle, en général…— Non, non c’était pas intéressé ; je l’aurais fait avec n’importe qui. Vous… tu penses que ça va jaser ?— Non, non… En voyant qu’elle ne me croit pas, j’avoue quand même que, bon, ça aurait été le gros Jean-Mi du cinquième, j’aurais peut-être pas proposé… Elle semble satisfaite de la précision. Finalement j’arrive chez elle. Avant de se quitter elle me fait la bise à travers la vitre ; j’ai mes yeux à hauteur de son décolleté. Elle n’a pas une grosse poitrine mais ça lui permet d’afficher de fulgurants cols en V plongeants… Elle est franchement bandante. — Si… si tu as besoin de re-covoiturer, n’hésite pas.— OK ; je te dis. Puis elle rentre chez elle, et moi je ne peux décoller mon regard de sa taille et de ses jambes, et je ne pars qu’une fois qu’elle a fermé la porte. À peine rentré chez moi je me jette sur le PC et j’ouvre mon site de porn habituel. Recroquevillé sur mon siège je me masturbe frénétiquement devant une blonde au carré en train de se faire pilonner et j’éjacule sur mon torse en moins de trente secondes. Dans ma tête, j’ai joui en pensant à Christine. « Allez, fini les conneries ; on se ressaisit et on range tout ça. » ********** Le lendemain, je suis tranquille dans mon bureau quand la fenêtre de messagerie instantanée s’ouvre sur l’écran : « Salut ! Tu es à ton bureau ? » Je réponds oui. « OK, j’arrive. » Ban ...
    ... sang, elle a combien de robes différentes ? Montée sur talons, dans une robe à fleurs roses aussi moulante que la veille, Christine me fait la bise et m’offre encore une fois une splendide vue sur son décolleté. J’entrevois le trait de ses seins et je me prends d’une envie de les sortir à pleines mains. J’essaye de regarder ailleurs. — Tu pourrais me ramener ce soir ?— Bien sûr. Tu veux que je passe te pr… Tu veux partir à quelle heure ?— J’aurais une course à faire. 17 heures ?— OK.— Super. Tu veux un café ? Elle se retourne en roulant involontairement des hanches. — Euh, oui, je… j’arrive.— Qu’est-ce qu’il y a ? Je suis en train de bander comme un âne ; impossible de me lever en l’état. — Je… je finis juste un truc. Deux secondes ; je te rejoins à la machine. Je me pose un moment à la fenêtre en attendant que la tension retombe et la rejoins à la machine à café. La discussion commence boulot puis elle me met bien mal à l’aise en me posant plein de questions sur ma copine. Il n’est que 14 h ; je retourne à mon bureau. 14 h 15. 14 h 30. 14 h 45. L’après-midi est interminable et je commence à tourner en rond ; alors, à défaut de pouvoir me concentrer, je décide de sortir ma paperasse en retard. Loi de l’emmerdement maximum oblige, l’imprimante tombe en rade, comme ça arrive chaque semaine. Qu’à cela ne tienne, je file à celle de l’étage du dessus… Décidément, le destin joue avec moi aujourd’hui. — Re-bonjour Christine.— Tiens… qui voilà ? La vôtre ne marche pas ?— Non.— Ben, ...
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