Autres lieux, autres moeurs
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
cocucont,
... pas fini avec elle. Il la pousse. Il se relève. Anne n’est plus qu’une poupée entre ses mains. Il la fait placer en levrette au bord du lit. De ses mains puissantes, il lui fait lever la croupe et la force à poser sa tête sur le lit. La courbure est impressionnante. On ne voit plus que les fesses qui font une excroissance sur le lit. Anne, mais est-ce un hasard, a le visage qui regarde de mon côté. John se place. La pénétration est puissance, totale, sans hésitation. — Oh ! ne peut que dire la femme enfilée si promptement. Après tout, elle voulait de l’imprévu, de la rudesse, eh bien son amant noir l’a comprise à demi-mot. Demi-mot, mais pas demi-mesure. John est le mâle dans toute sa splendeur. Je ne pouvais imaginer mieux. La chienne sur le lit est à sa disposition. Il la possède. Il la baise. La queue est magnifique et encore une fois je félicite Anne d’avoir choisi cet homme. La queue sombre se détache parfaitement lorsqu’elle quitte pendant une fraction de seconde la chaleur de ce trou rose, avant de replonger en conquérante. Je ne peux me retenir de me lever et de m’approcher. Je regarde. Je mate. J’apprécie. Mon cerveau est une caméra parfaite capable de voir la scène en totalité et se « focuser » en même temps sur un détail. Le détail de la peau blanche d’Anne qui rosit là où les mains de l’homme s’agrippent. La courbure parfaite qu’elle offre à son amant. La main qu’elle a glissée sous elle et qui doit caresser encore son bouton. La crème qui semble sortir du vagin ...
... et enduire la capote, mélange de foutre abandonné et de liqueur de jouissance. Mais la vue n’est pas le seul sens. L’odeur est prenante. Odeur de débauche, de transpiration, de salive suintante, de foutre déjà croupissant. Le son aussi participe. Bruit du ventre masculin qui frappe les fesses blanches. Bruit de halètement de la chienne qui se fait prendre. Bruit de respiration de l’homme qui s’active. Quel délice ! Je ne pouvais imaginer mieux. Pas sûr ! Je vois John sucer son propre pouce et le diriger vers Anne. Vers Anne et son petit trou. Le pouce disparaît aussitôt, sans effort. Ne reste qu’une main plaquée sur la fesse, crochetée par le pouce dans le cul de ma femme. À peine un gémissement de plus. C’est donc si facile, moi qui n’osait qu’un doigt et encore, avec précaution. Anne serait-elle pratiquante de… Je me pose la question. La sodomie ferait-elle partie de ce qu’elle m’a avoué parmi ses besoins de « positions inhabituelles » ? C’est John qui répond. Sa queue quitte la chaleur du vagin ; le pouce, la noirceur du cul. Et il le fait. Il place son gland là où le pouce a abandonné un cul entrouvert, bâillant de façon fugitive, mais obscène. — Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh C’est le cri d’un cul qui se fait occuper. Mais ce n’est pas un vrai cri de douleur. Non, plutôt un cri de surprise. Anne ne souffre pas. Elle réagit uniquement à la puissance de la sodomie, son cul envahi par la queue sombre et glissante. Déjà les couilles de John viennent heurter sa chatte. Ce n’est que le ...