Autres lieux, autres moeurs
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
cocucont,
... position n’est pas très propice à de profondes poussées, mais l’étroitesse des lieux remplace avantageusement. Il me faut peu de temps pour que ma jouissance vienne. J’inonde pour la seconde fois ce vagin de pucelle tellement il est resserré par John. Lorsque je me retire, John quitte le cul, et arrachant la capote se termine à la main. Ridicule. Oui, je suis ridicule d’être étonné lorsque de gros jets de spermes blanchâtres en jaillissent éclaboussant le ventre de la femme. J’aurais apprécié si le foutre avait été noir et pointillait le ventre blanc de la femme que nous venions de baiser. Vendredi 1er janvier La lumière me fait mal à la tête. Le soleil traverse les rideaux et inonde la chambre. Oh, la vache, j’ai trop bu hier et mon corps se venge. Il me faut un moment pour reconstruire mon environnement. La chambre, Les Caraïbes, le Nouvel An. Quel rêve j’ai fait ! Encore mon fantasme qui me joue des tours. Je me souviens de tout, de chaque détail, de chaque instant. Pourtant dans mon rêve, il s’en est passé des choses. Au fait où est ma femme ? Sous la douche. J’entends l’eau couler. Ah la voici qui revient. Le soleil l’illumine. Elle est belle, toujours aussi svelte malgré ses maternités. Ses petits seins se tiennent bien droits. Elle les trouve trop petits. Moi je les aime bien, mais peut-être qu’un gonflement pourrait lui faire plaisir. Pourquoi pas si elle le veut vraiment ? — Bonjour Chéri. Bien dormi ? Tu t’es endormi ...
... comme une souche hier, après…— Bonjour, après quoi ? Elle s’approche de moi, sourit. — Tu sais bien.— Non je ne me souviens pas.— Coquin.— Dis-moi.— Chéri, voyons, tu sais bien après… après John et… Merde. John. Ce n’était pas un rêve. Le reste non plus alors. Cédric ! — Je plaisantais. C’était extraordinaire. J’ai adoré et toi ?— Quelle femme regretterait trois amants le même soir. Vous m’avez comblée. Mais tu as bien promis de me pardonner.— Bien sûr. Nous sommes en parfait équilibre, fantasme pour fantasme. Je me souviens maintenant qu’avant de m’endormir nous avons parlé et que j’ai avoué ma joie de la voir avec un autre homme. — J’ai commandé le petit déjeuner et une surprise aussi. Tu t’es endormi trop vite tout à l’heure et je voulais t’avouer… On frappe à la porte. Aussitôt Anne répond. — Oui ?— Les petits déjeuners. Elle se dirige vers la porte, ouvre. Entre alors la bonne, Lucia. Elle pose le plateau sur la table. — Madame vous avez commandé un service spécial ? Aussitôt Anne répond « Oui ». En moins de temps qu’il faut pour le dire, la bonne enlève sa tenue et se montre nue. Pas de soutif, pas de culotte. — Je commence avec qui ? demande la pulpeuse.— Avec moi, dit Anne. Et en deux pas la pulpeuse Lucia vient se coller à ma femme et entreprend de lui rouler une pelle. Elle la pousse sur le lit. Voilà Anne allongée à côté de moi. Une masse sombre vient sur elle et commence alors un 69 d’enfer. Et moi, c’est pour après ?