1. Autres lieux, autres moeurs


    Datte: 30/03/2018, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, cocucont,

    ... début. Ma femme est une pute que l’homme encule sans retenue. Ma femme est une salope qui n’a plus aucune pudeur, aucune honte. Ma femme crie que son amant est gros, est fort, qu’il lui fait du bien, que son cul est à lui. Ma femme pousse sa croupe vers l’assaillant. Ainsi voilà ce qu’elle aime, ce qu’elle cherche chez ses amants. Adieu tendresse. J’ai l’impression que mes yeux se dessillent. La mère de famille, ma femme depuis tant d’années est une inconnue pour moi. Jamais je n’aurais pensé. C’est encore meilleur. Je devine tout ce qui nous attend. Noir sur blanc. L’homme s’allonge sur la pute qu’il encule, l’enveloppant de son corps. Et dans un mouvement de bascule, il l’entraîne avec lui, tombant sur le côté puis d’un coup de rein la propulsant sur lui. Maintenant John est couché et c’est Anne qui est sur lui. Je ne sais si pendant le changement, la queue s’est égarée, mais en tout cas elle a retrouvé le chemin du cul. Anne écrase John de tout son poids, mais elle bouge. Elle prend appui sur ses bras, appui sur ses jambes et la voici, flottant sur son enculeur. C’est elle maintenant qui, par ses mouvements de balancier, se baise du cul sur son amant. Le spectacle est torride. Anne me fait face, cuisses outrageusement écartées, totalement chevillée sur le bâton sombre, m’offrant la vision de sa chatte abandonnée, mais gardant des traces de nos baises. — Souvent Roby et Martine m’avaient demandé si mon fantasme se limitait à regarder. Si je n’avais pas envie, après une ...
    ... période de pure contemplation, d’aller rejoindre le couple de ma femme avec son amant. Ou bien que de mon côté, je baise avec une femme alors que la mienne se faisait bourrer près de moi. Ma réponse était toujours : « Non, juste regarder ». Mais on n’est pas totalement maître de ses pulsions. Anne comprend lorsqu’elle me voit avancer entre ses cuisses, rampant sur le lit, cherchant une surface libre pour poser mes jambes. — Franck. Tu ne vas pas. Pas à deux. Je ne l’ai jamais fait.— Moi encore moins, mais tu m’as bien dit que tu aimais les surprises. Pourtant elle se laisse aller en arrière afin que je puisse me placer. Je suis à la porte. Ma bite avance, entrouvre la fente, glisse, glisse. Tout de suite, de la résistance. La tige dure de John occupe beaucoup de place, mais pourtant mon gland rampe et se frotte contre le bâton dans le cul. C’est très inconfortable, mais lorsque j’entends Anne dire : — Putain que vous êtes gros ! Vous me dilatez. C’est… Oui… C’est bon, continue. Bien sûr que je continue après un tel aveu. J’oublie que c’est ma tendre chérie qui est là. D’ailleurs c’est une autre. Une femme que je ne connais pas. D’un coup de reins me voici le plus loin que je peux. Le mari délicat devient un homme comme les autres cherchant son plaisir. Je ramone sans retenue la chatte écartelée. La femme que je baise ne dit plus rien, allongée sur son amant noir qui lui caresse les seins. Elle réagit lorsque moi je lui caresse le clitoris. Elle ouvre les yeux et sourit. La ...