Une fraise à la bouche PARTIE 2 De Pauline
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
ff,
frousses,
rousseurs,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
fdanus,
jeu,
aliments,
attache,
glaçon,
... à elle, souhaitant la renverser par terre. Nous étions trop loin du bord et je n’arrivai qu’à saisir son dos, à l’incliner sans la pousser. Qu’à cela ne tienne ! Comme une imbécile, sans réfléchir, j’enfonçai mes ongles dans sa peau brûlante. Je griffai ses omoplates. Je saisis son visage à deux mains, ainsi que des poignées de cheveux. Je plongeai ma langue dans sa bouche, fouillant entre ses dents et sa joue, ainsi que sous sa langue. Sa lèvre inférieure était légèrement plus épaisse que l’autre. Je mordis la chair sauvagement. Un goût de fer envahit ma bouche. Je lançai mes jambes autour de ses hanches, l’attirant encore plus à moi. Elle fit la même chose. Nous tanguions d’avant en arrière sur le lit. La balançoire humaine. Soudain, ses doigts violèrent mes cuisses. Son pouce, son index, son majeur. Ces trois doigts-là, de chaque main m’envahirent. Je décidai d’enfin la prendre aussi. Mes mains parcouraient ses muqueuses. Agrippaient les plis de son sexe. Je plantai les ongles dans la peau molle pour griffer. J’allais faire mal. Qu’elle me pardonne. Si j’avais pu déchirer sa peau pour mieux la soigner après, je l’aurais fait, je pense. Elle cria. Je cessai. Elle me fit perdre conscience un instant en m’appelant Floriane. Je me demandai pourquoi et soudain j’eus la réponse. Elle voulait se faire l’amour par mon intermédiaire. Adjugé. Elle me demandait de m’allonger sur le ventre. Mes cuisses la délivrèrent et je me retournai. Les seins écrasés contre le matelas, ...
... j’attendais en murmurant « Pauline, ma Pauline d’amour » Mes mots l’excitaient. Elle posa sa bouche sur mes petites fesses. Zones de mon anatomie que je détestais, en dépit de ses remarques. Sa langue força le passage. Elle dévorait sans complexe l’endroit le plus ignoble de mon corps. Que ressentait-elle ? Elle glissa un doigt dans mes chairs. Ce n’était pas lubrifié. Ma peau s’accrochait. J’avais mal. Elle enfonça quelque chose d’infâme. Glacé. Je tentai de serrer les fesses, mais c’était peine perdue. La chose, un glaçon de toute évidence, s’enfonça d’un coup dans mon anus. J’essayai de le saisir mais il glissait. Il s’enfonça plus profondément. Mes doigts s’aventurèrent où je n’étais jamais allée, mais le glaçon gagna. J’en aurais pleuré. Plus que je ne le faisais déjà. Elle cessa de me chevaucher, je me retournai sur le dos. Elle m’embrassa tendrement, comme le ferait deux amies seulement. Elle se crispa, serra mes mains, enlaçant ses doigts autour des miens. Elle partait, je le savais. Elle avait un peu peur et avait envie que je l’accompagne. Je jouis une nouvelle fois. Une jouissance infernale, qui ne cessa pas à mon ventre, mais s’aventura dans mes cuisses et mes jambes. Je tenais sa main fermement, ses petits doigts aussi. Elle murmura « Pauline ». Je répétai son prénom, inlassablement, ne me concentrant que sur ça, pendant qu’un nouvel orgasme psychique déchirait mon corps. Inertes, nous retombâmes. Elle me serra. J’en fis de même. Quelques minutes après, nous éteignîmes la ...