1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°985)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°984) - Elle n’en revenait pas elle-même de se sentir dans cet état second d’excitation quasi permanente face à cette situation aussi dégradante et humiliante … Derrière l’habitation, il y avait une rivière à très faible courant qui passait et traversait toute la clairière et dont les rives devenaient rapidement vaseuses dès qu’il y avait un peu de pluie, et comme l’eau était tombée pratiquement toute dans la nuit, c’était devenu un vrai marécage. Les gardes eurent envie de s’amuser un peu. Ils attachèrent les bras de Zao dans son dos. Ils lui placèrent un large collier en métal qui avait un anneau et ils mirent une barre métallique qui longeait sa colonne vertébrale et qui montait au-dessus de sa tête. Cet appareillage limitait de beaucoup ses mouvements. Ils la firent se déplacer à genoux, ne pouvant se mettre à quatre pattes dans cet accoutrement, et exigèrent qu’elle rentre dans le « marécage » devant s’avancer jusqu’à ses mollets soient bien recouverts. Ils lui ordonnèrent alors de se prosterner. La vase lui rentrait dans la narine la plus proche du sol. L’un des gardes qui s’était entièrement dénudé la rejoint et avec un de ses pieds boueux appuya sur son cul qui était relevé afin qu’elle s’affale dans la vase. Puis il lui enfonça le visage dedans et l’y maintint un moment, au point que Zao crut suffoquer au moment où on lui releva la tête en lui tirant par les cheveux. Les hommes, qui ...
    ... avaient suivi l’exemple vestimentaire du premier en tenu d’Adam, firent cercle autour d’elle, et lui donnèrent dix minutes pour se mettre à genoux si elle ne voulait pas être sanctionnée. Malheureusement pour elle, entre la barre métallique et la vase glissante, elle parvint à peine à se retrouver prosternée. - Eh bien, puisque tu aimes te trainer dans la boue, tu vas avancer en rampant tant qu’on ne te donnera pas l’ordre de t’arrêter ! La tâche était compliquée, ne pouvant pas se servir de ses bras attachés dans le dos à une barre de fer. Son visage plongeait souvent dans la vase, le recouvrant entièrement. Et elle ne pouvait essuyer ses yeux pour voir où elle allait. Les gardes, eux, le voyaient bien, et avec des badines qu’ils avaient pris soin d’apporter, ils la dirigèrent pour la faire retourner sur la terre ferme et sèche. Elle leur fut reconnaissante de lui laisser quelques minutes pour retrouver le souffle qu’elle avait perdu sous l’effort et la difficulté. Elle était maculée de boue et rare était des endroits de son corps où l’on pouvait apercevoir sa peau tant la vase collait à celle-ci … - Allez la chienne ! Viens nous nettoyer les pieds. On va t’enlever ton bâillon et tu vas activer ta petite langue de salope. Ensuite nous t’accorderons le droit à une douche. Ils s’alignèrent tous les uns à côtés des autres, et la laissèrent prendre son temps. Le goût de la vase lui emplissait la bouche. Elle avait le cœur qui se soulevait devant son labeur. Mais elle s’appliqua de ...
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