1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°985)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... son mieux, trop épuisée pour essayer la moindre tentative de rébellion. Elle se raccrochait à l’idée de la douche. Elle supposait qu’elle serait froide, elle ne se faisait pas d’illusion. Mais l’odeur de la vase la dérangeait et elle rêvait de s’en débarrasser. Après une demi-heure de léchage d’orteils, jusqu’à ce qu’ils deviennent aussi blancs qu’il était permis, les gardes la libérèrent de ses attaches, lui laissant toutefois le bâillon. Ils l’emmenèrent face à la maison, tous prirent leur sexe en main et lui urinèrent de nouveau dessus. - Voilà ta douche, ah, ah, ah ! Sois heureuse, au moins elle est bien chaude ! Et maintenant, tu vas avoir droit au bâillon-anneau. On ne s’est pas vider les couilles depuis plusieurs heures, et ça te nourrira un peu en attendant que ce soit l’heure de dîner. Et elle se vit baiser la bouche de très longues minutes, jusqu’à ce que la dizaine de gardes qu’ils étaient à présent lui aient rempli l’estomac à longs jets épais de sperme aux goûts différents. Elle avalait tellement de spermes que lorsqu’arriva le dernier elle faisait de gros efforts pour ne pas se mettre à vomir, surtout que personne ne l’avait épargné et tous s’étaient amusés à s’enfoncer profondément dans sa gorge. Sa bouche avait servi de vide-couilles et son corps de vide-vessie ! ... Le reste de la journée, elle la passa à faire la lessive à l’ancienne dans un lavoir en pierre pas loin de la rivière. Ça lui permit de se laver au moins les bras et les mains pour ne pas ...
    ... souiller le linge avec sa saleté, mélange d’urine, de reste de vase, et de terre, pour s’être déplacée en quadrupédie. Elle dut également faire le ménage à fond dans la maison et pour cela, elle eut droit de se laver avec l’eau du puit qui était glaciale. Mais elle était sincèrement reconnaissante de pouvoir enfin se débarrasser de toutes ces odeurs, bien qu’elle n’eût pas le moindre bout de savon pour se nettoyer. Régulièrement, au cours de la journée, les gardes venaient, soit seul, soit à deux ou à trois, mais jamais plus que le nombre de ses orifices. Et elle se faisait baiser sauvagement par tous ses trous, enculer sans ménagement ou profondément dans la chatte quand parfois un garde se finissait dans sa bouche où elle devait avaler, encore ! Les nectars de ces hommes, parfois les recevant dans ses autres orifices, ou alors le recevant sur son dos, ou sa tête... Le soir elle dut préparer le dîner pour les gardes. Son estomac protestait car elle n’avait avalé durant la journée que de l’urine et du sperme. Elle donnait régulièrement autour d’elle, espérant pouvoir manger directement dans les casseroles, mais il y avait toujours un homme en train de la surveiller. Elle vit ses espoirs d’un bon repas chaud disparaître. Elle eut droit de rester debout pendant tout le service. Parfois un garde l’appelait pour lui fourrer un ou plusieurs doigts dans la chatte ou le cul, la fesser, lui claquer les seins ou le visage, mais personne ne lui donna la moindre miette de nourriture. Ensuite ...