1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°985)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... elle dut faire la vaisselle et nettoyer la salle à manger et la cuisine. Elle n’en pouvait plus et ne rêvait que de manger et de dormir. Elle servit de repose pieds à trois gardes, l’un faisant reposer les siens sur sa tête qu’elle dut maintenir dans une certaine position, l’autre sur son dos, et le dernier sur son cul. Tous trois avaient emprunté dans la Grande Bibliothèque du Château des ouvrages du Maître, « La Saga des esclaves », « Les origines de la Saga des esclaves » et « Les Douze Servitudes d’Hélène ». Enfin, lorsqu’ils posèrent enfin leurs livres, on la ramena à sa niche abritée et elle fut heureuse de s’apercevoir que sa gamelle était bien remplie d’une pâtée consistante et régénératrice d’énergies. Dès qu’elle fut seule, elle dévora sa pâtée en quadrupédie, nettoyant consciencieusement le récipient. Puis elle se coucha enfin, se couvrit de la couverture et s’endormit très rapidement… Son mois de réclusion loin du Château se passa sensiblement comme cette première journée, à faire la femme de ménage, à servir de vide-couilles, ou d’urinoir, et à se faire humilier, abondamment baiser de nombreuses fois par jour et même parfois la nuit. Mais à la fin de sa sanction, elle avait gagné en humilité et en obéissance. Son caractère rebelle avait été dompté et plus aucun esprit de rébellion face à l’autorité ne lui venait en tête, elle avait été dressée pour de bon. Elle fut alors autorisée à prendre une vraie douche chaude dans la maison, avec du savon et du shampoing, ...
    ... pour être propre pour se présenter en fin de journée à nouveau devant Monsieur le Marquis. On lui avait pour ce jour, maintenu la bouche ouverte et la langue sortie par des pinces à linge. On la conduisit devant la porte du bureau du Châtelain, frappa à la porte pour elle. Mais lorsque l’autorisation d’entrée fut donnée, on la laissa seule. Elle entra donc, referma la porte, et alla se prosterner d’elle-même au centre de la pièce. Le Maître l’ignora, comme Il le faisait souvent, montrant bien à la soumise qu’Il n’était pas à sa disposition. Au bout d’une quinzaine de minutes, Il leva les yeux sur la chienne qui n’avait pas bougé : - Bien ! Tu sembles avoir appris une certaine docilité évidente, et toute rébellion semble ne plus exister en toi, ça sera au moins ça de fait. (Son ton était froid et monocorde) J’ai été tenu au courant quotidiennement de ton comportement. Il est vrai que mes gardes ont tendance à épuiser ceux qui passent entre leurs mains, les empêchant de montrer leur sale caractère, et par la suite, les rebelles prennent l’habitude de faire ce qu’on leur dit sans protester. Tu vas donc pouvoir regagner le Chenil du Château, qui y sera certainement plus confortablement installée que celui que tu as occupé ces trente derniers jours. J’espère que tu montreras ta reconnaissance par une obéissance sans faille, peu importe à qui je t’imposerai de te soumettre. Qui sait ? Peut-être que tu pourras rapidement retrouver le joug de mon ami tibétain… Il appuya sur un bouton, ...