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Le joli mois de mai. 9ème partie (fin de notre soirée libertine)...
Datte: 02/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe
La nuit est fraîche et nous préférons rester dans un coin plus calme du salon pour nous détendre un peu. J’ai déniché une bouteille de Champagne et trois coupes, que nous vidons à avec délectation. Les deux sœurs me questionnent sur mon enfance dans le sud de la France dont j’ai gardé le souvenir sous la forme d’une légère pointe d’accent, mes études de lettres, sur ma carrière d’officier de Marine qui les fait fantasmer (Ah ! le prestige de l’uniforme et les escales exotiques…). Elles aussi ont beaucoup voyagé avec un père enseignant dans de nombreux lycées français un peu partout dans le monde. Nous partageons même certaines émotions à l’évocation de certains pays lointains. J’apprends au fil de notre discussion que toutes les deux sont cadres dans la communication et les relations humaines et à mon tour je les fais rire en évoquant les réunions qu’elles animent et le fantasme du tailleur strict dans lesquelles je les imagine au milieu de tous ces hommes n’en pouvant plus d’être ainsi aguichés. Le temps s’écoule ainsi gentiment, au milieu des quelques couples qui font l’amour enlacés dans les recoins du salon jusqu’à ce que deux hommes s’approchent d’une femme d’une cinquantaine d’années portant guêpière, bas et porte-jarretelles qui semblait assoupie, lovée dans un fauteuil voltaire. Identique à ceux dans lequel nous avons vu ma femme faire l’amour derrière le miroir sans tain, il lui offrait dans la pénombre un coin de repos. L’un des deux hommes se saisit des poignets ...
... de la femme qui se débat mollement et lui passe des menottes dont le son sec de la fermeture claque au milieu des gémissements étouffés des autres personnes autour de nous. Maintenue fermement par les deux hommes elle se voit contrainte de leur faire une fellation puis une fois leurs sexes suffisamment raides elle doit subir leurs assauts à tour de rôle. La scène émoustille mes deux voisines qui se montrent de plus en plus curieuses et intéressées. Le manège des deux hommes et de leur « victime » menottée continue sous le regard d’un homme dont je n’avais jusque-là pas remarqué la présence. Tapis dans l’ombre il observe impassible en apparence. C’est Louise qui me donne le fin mot de l’histoire en m’expliquant que l’homme et la femme vivent presque à chaque « fête » organisée par Nicolas et Valérie le même fantasme. Menottée mais aussi parfois ligotée et giflée, elle vit une sorte de pseudo viol devant son mari. Effectivement besognée par les deux hommes, elle commence à manifester en criant le plaisir qui l’envahit. Loin de les freiner les complices du mari entament alors une double pénétration en la prenant en sandwich. La guêpière cède sous le traitement que lui infligent les quatre mains qui s’y agrippent et de très beaux seins en jaillissent, lourds, à la blancheur laiteuse et aux tétons sombres. Allongée sur le côté au bord d’un des sofas avec dans son dos celui qui la sodomise, cette belle femme aux yeux maintenant perdus de plaisir, a les jambes maintenues écartées par ...