1. Le joli mois de mai. 9ème partie (fin de notre soirée libertine)...


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... - « Nous t’interdisons de bouger ! » Elle quitte le lit sur lequel elle était accroupie et en même temps que sa sœur ressaute à pieds joints dessus. Je sens leurs haleines et le souffle de leurs respirations sur mon visage, puis je plonge comme un junkie dans son trip en me livrant à leurs caresses. Chacun de leurs baisers est un sommet d’érotisme. Je sens leurs lèvres m’aspirer, m’entourer, me cerner et je me rends. Sans savoir à qui elles appartiennent je ne peux que me concentrer sur leur effet. Et chez moi il est fulgurant : j’ai cette faculté de bander très vite et bien que je ne maîtrise rien en la circonstance, à les entendre mon érection rapide comble d’aise tant l’une que l’autre. Toujours avec leur bouche elles sont toutes les deux en train de me rendre fou. Leurs langues courent sur moi sans que je sache où elles vont se poser. De mes tempes à mon pubis je sers de piste d’atterrissage à un vol délicieux de baisers. En expertes, les deux frangines se gardent bien de s’approcher trop près de mon sexe qui bande à me faire mal. Tout au plus puis-je sentir le frôlement d’un sein ou celui d’une mèche de cheveux glisser le long de ma hampe dressée à la verticale. Moi qui ne ressentais pas particulièrement d’excitation avec mes tétons je me retrouve bien bête quand sous leurs soins je les sens durcir eux aussi. Tournant en spirale autour d’eux elles poursuivent leurs courses folles vers mon bas ventre où je sens taper mon cœur comme après un sprint. La seule différente ...
    ... c’est que ce sprint immobile dure depuis plusieurs minutes sûrement et que je ne vois pas la ligne d’arrivée. Sentant qu’elles en avaient assez fait pour m’échauffer les esprits, Louise et sa petite sœur semblent marquer le pas et je perçois plus que je les entends des chuchotements durant lesquels elles doivent se mettre d’accord pour m’épuiser enfin. Effectivement je les sens se déplacer autour de moi. Le lit bien que d’excellente qualité, me restitue les mouvements des deux jeunes femmes sous la forme de d’ondes étouffées qui m’intriguent. Bien vite ces mouvements ont glissé vers les pieds du lit et je sens deux mains qui se saisissent de mes chevilles pour les remonter vers moi en pliant mes jambes. Je suis à leur merci et cette situation me grise. Laquelle des deux est maintenant entre mes cuisses et commence à me lécher les bourses ? Laquelle pose comme une fleur ses lèvres sur mon sexe en insistant juste ce qu’il faut sur le gland qu’elle enroule de sa langue, laquelle m’embrasse maintenant sur la bouche ? Trois ! Elles sont trois ! J’ai à peine le temps d’esquisser un : « mais ! » que le son de la voix de Christelle se mêle aux rires de Julie et de Louise pour me dire : - « Je ne peux vraiment pas te laisser seul un instant ! Il faut que tu fasses des bêtises dès que j’ai le dos tourné ! Tu mériterais que je t’abandonne à ton triste sort, livré à ces deux adorables créatures !» Malgré l’interdiction qui m’a été faite de bouger je saisis au jugé le visage de la femme que ...