Révélations
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fff,
jeunes,
fépilée,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... reflet. Mes lèvres sont visibles ! Mon cul est complètement découvert ! Le tee-shirt couvre à peine mes aréoles. Au point où j’en suis, tant pis, je jette le peu de pudeur qu’il me reste et me remets à courir. Tous seins dehors, je sors des rues piétonnes, je ne les vois toujours pas ! Quelle idiote j’ai été de les laisser partir sans moi, je ressens encore les caresses de Céline et d’Anaïs. Plus je pense aux exhibitions qu’elles m’ont fait subir, plus je voudrais qu’elles reprennent immédiatement. Mon esprit totalement occupé par Céline m’isole de la réalité. Encore quelques dizaines de mètres, je débouche sur l’avenue et, aïe ! Une douleur fulgurante aux pieds m’arrête net. Je n’ai pas regardé, le trottoir est couvert de petits graviers bien douloureux sans chaussures. Je profite de cet arrêt pour couvrir mes seins et lentement reprends ma marche. Je calcule chacun de mes pas, mais au bout d’une trentaine de mètres, je dois m’asseoir sur une bordure de fenêtre dans un angle de mur afin d’examiner ma voûte plantaire. Bien que visible de l’avenue je me sens en sécurité, protégée par les murs de l’immeuble. Les fesses sur le béton, je relève mes jambes pour me mettre en tailleur et constate que mes pieds n’ont rien. Céline, pourquoi n’es-tu pas là ! C’est alors que je ressens comme une décharge électrique dans mon ...
... bas-ventre, l’ourlet frotte sur mon clitoris et le vent s’engouffre entre mes lèvres ouvertes. La sensation est délicieuse, je ne peux m’empêcher de relever le tee-shirt sur mon ventre et d’admirer mon clitoris bandé. Lentement, je frotte l’index de ma main droite sur mes lèvres puis tout doucement récupère de la cyprine à l’entrée de mon vagin, remonte vers mon clitoris, avec beaucoup de douceur je le frotte puis de deux doigts je le pince et commence à le masser. Si Céline était là, elle m’aurait déjà déshabillée, je l’imagine très bien à genoux à aspirer mon sexe dans sa bouche, faire rouler sa langue autour de mon clito. Je passe une main sous le tissu et commence à masser mes seins. La sensation est étrange, mon plaisir stagne, que ferait Céline ? Je dégage une bretelle, fais passer mon coude puis passe le tee-shirt par-dessus ma tête. Mon autre main abandonne mon clitoris pour laisser filer le tissu. J’en fais une boule, ça y est je suis nue. Encore une chose à faire : de toutes mes forces, je le lance, le tissu se déploie, tombe sur le toit d’une voiture et glisse côté rue, je ne le vois plus. Je ferme les yeux et,« imagine Céline tu n’es pas là, mais regarde, les plantes des pieds l’une contre l’autre, les mains sur les chevilles, je suis complètement exposée, alors viens me donner mon plaisir, je t’attends ! »