Un, deux, trois !
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
copains,
vacances,
hotel,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... demande, la bouche en cœur, le cul encore souillé par un foutre qu’elle pense de son amant : — Tu as mal dormi ? Pourtant l’hôtel était particulièrement silencieux. Alors la colère me prend. Je stoppe la voiture sur le bas-côté de la route. — Un problème ? me demande le traître qui est assis derrière sa maîtresse. Ma seule réponse, après avoir défait ma ceinture et me tourner vers eux, est : — Depuis quand couchez-vous ensemble ? C’est comme au cinéma. Les visages montrent d’abord la surprise, puis une seconde d’angoisse avant de s’afficher indignés. — Mais de quoi tu parles ? Tu es fou ! Pascal, voyons… C’est la putain qui s’y colle. Arnaud ne dit rien ; il fait juste un geste d’incompréhension. — Pas la peine de mentir. Je sais tout. Cette nuit j’en ai eu la preuve.— Pascal, je te jure, sur la tête de ma mère, que je n’ai pas touché Séverine. Tu as dû rêver, c’est évident. « Le traître… Évidemment qu’il ne l’a pas touchée, et il peut jurer de bonne foi. Mais les autres jours ? » Je surprends Séverine qui regarde son amant avec étonnement. Elle sait l’attachement d’Arnaud pour sa mère, et son parjure doit lui paraître surprenant. — Il ne ment pas, dis-je.— Mais évidemment qu’il ne ment pas. Je ne couche pas avec Arnaud, voyons.— C’est avec moi que tu as baisé.— Mais de quoi tu parles ?— Si je te dis 69, cavalière et tout le reste… Le visage de ma femme se fige. Elle commence à comprendre son erreur, mais un dernier sursaut lui fait dire : — Tu mens : ce n’était pas toi. Son ...
... parfum… Elle vient d’avouer sans s’en rendre compte. — Son dentifrice ! Hier, j’ai utilisé son dentifrice. Un long silence. — Son dentifrice ?— Oui. Et Arnaud s’est couché avant moi, à la place où je me mets d’habitude. Je peux voir sur son visage l’incrédulité, puis la stupeur, suivie par une angoisse palpable. — Euh… Mais… Que c’est triste, une femme qui, quel que soit le côté où elle se tourne, ne rencontre que sa propre turpitude. — Donc je répète ma question : depuis quand couchez-vous ensemble ?— Depuis le 10 décembre, me répond Arnaud.— Cela fait donc deux mois. Pas avant ? Pas avant de venir chez moi ?— Non, je te le jure ! affirme l’amant avec force.— C’est vrai, confirme mon épouse d’une voix défaite et les yeux mouillés.— Il vous aura fallu à peine un mois pour me cocufier.— Pascal, je vais t’expliquer. Ce n’est pas ce que tu crois. Ce n’était pas prémédité.— Ah bon ? Me voici consolé. Alors si ce n’était pas prémédité, cela s’est passé comment ?— Pascal, s’il te plaît… Je reconnais ma faute, mais ne me demande pas comment. Séverine pleurniche. — Je ne partirai pas d’ici sans savoir.— Laisse, Séverine, je vais lui dire, annonce Arnaud qui me connaît assez pour savoir que je ne mens pas. Séverine avait oublié que j’occupais la salle de bain et j’avais oublié de fermer la porte. Elle m’a surpris en train de me masturber. — La belle affaire !— Oui, mais j’utilisais une de ses petites culottes qui était dans le panier de linge sale.— Ah…— Non, je ne suis pas pervers au ...