Un, deux, trois !
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
copains,
vacances,
hotel,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... point de piquer les petites culottes des femmes : c’est juste que c’était la même que ma femme portait parfois. Ça m’a rappelé des souvenirs, des regrets, des envies et, je reconnais combien, raconté ainsi, mon geste paraît ridicule, mais sur le moment cela me calmait.— Une femme honnête aurait refermé la porte, dis-je. Séverine me foudroie du regard. — Elle m’a vu trop tard. Elle était déjà entrée.— Et ensuite ? C’est ma femme qui, tout en pleurnichant, continue : — Il m’a fait pitié lorsqu’il m’a raconté. Alors… alors j’ai… oui, je l’ai branlé. Voilà.— Réflexe parfait de la maîtresse de maison ! j’ironise. Une hôtesse digne de ce nom l’aurait sucé. Et j’insiste : — Mais encore ?— Tu veux vraiment savoir ? Qu’est-ce que cela te rapporte ? Tu te fais du mal. Tu fais du mal à tout le monde. Arnaud essaie de me détourner de mon but. Un but incertain, mais sur lequel je me braque. — Je ne partirai pas.— D’accord, tu l’auras voulu. Oui, elle m’a branlé, et lorsque j’ai joui j’ai tout éclaboussé et on a ri. Et ensuite…— Oui, la suite ?— On a fait l’amour.— Où ?— Pascal ! Vraiment !— Où ?— Dans la salle de bain. À cet instant je croise le regard de ma femme. Elle baisse les yeux. La garce, je sais pourquoi. Elle et moi avons souvent fait l’amour dans cette salle de bain. Sous la douche, dans la baignoire, mais surtout d’une façon qui est devenue au fil du temps une sorte de position fétiche : elle en appui contre le lavabo, sa croupe provocante, ses seins se balançant, moi la ...
... prenant par derrière. Ainsi nous pouvions nous voir dans le miroir du lavabo. Je pouvais suivre l’avancement de son plaisir, ses yeux qui se ferment, ses lèvres qui se pincent, mais aussi par le miroir sur le côté notre couple de profil, les reins, les fesses, ma bite qui entrait et sortait. C’est une évidence : Séverine s’est fait prendre ainsi. Je me sens presque plus trahi qu’ils aient utilisé ma position fétiche que par son infidélité. — T’es vraiment une salope ! Et j’imagine qu’Arnaud n’est pas le premier… Cette injure la fait frémir, mais aussi semble la réveiller. Son regard me foudroie. — Tu peux penser ce que tu veux de moi, mais je ne t’ai jamais trompé. Enfin, je veux dire avant Arnaud. Pourtant j’aurais pu, crois-moi.— Et je devrais te donner une médaille, peut-être ?— Pourquoi pas ? Après tout, si je suis coupable, tu portes une bonne partie des responsabilités.— Je l’attendais, celle-là. Ça va être de ma faute !— Ne joue pas sur les mots. Mais oui, une partie des responsabilités. Qui rentre de plus en plus tard ? Qui ne pense qu’à son travail, au point que je deviens transparente ? Qui ne me touche plus au point que je doive faire l’aumône à Monsieur de bien vouloir baiser sa femme ? Et qui invite un ami chez lui ? Cet ami dont tu disais – je cite tes mots – « Tu as tapé dans l’œil de mon copain. Je me demande s’il n’en pince pas pour toi. Il est beau garçon, hein ? »— Moi ? J’ai dit ça ?— Oh, que oui ! Ça et bien d’autres choses. Un copain d’enfance ! Un ami ...