1. Blessure


    Datte: 16/06/2017, Catégories: f, ff, Inceste / Tabou vacances, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation confession,

    ... provenant des chambres du dessous. Dans une des ailes, il y avait les garçons ; dans l’autre, les filles. D’un côté, les chambres seules, plus chères, et de l’autre moins de chambres, mais de deux. La mienne, au bout, avait une deuxième porte, fermée avec un verrou de l’intérieur, qui donnait, sur le côté, sur un escalier de secours, qui me permettait le soir de me faufiler dans le grenier sans que les surveillants, placés au niveau de l’escalier central, ne me voient. Leur rôle consistait juste à ce que personne ne rentre dans une chambre qui ne lui est pas attribuée, afin d’éviter des fêtes et du bruit, ainsi que sans doute une certaine moralité supposée. Supposée, parce que j’en ai appris de belles ! Il y avait une chambre de deux garçons qui avaient le nez plongé dans les maths en permanence. Pour les autres, j’ai toujours réussi à y surprendre quelque chose. Les trappes me donnaient un peu de lumière et me guidaient, et le boîtier d’alarme incendie donnait une faible lueur qui me permettait de rentrer quand tout était éteint. Sinon, je dois dire que c’était instructif. Je pensais que les garçons se caressaient tous de la même manière : eh bien non. Avec deux doigts, avec la main entière, avec de la crèmeNivea, avec du lait solaire, avec le polochon. Tout y passait. Il y en a un qui mettait les pieds au mur et qui essayait de se la mettre dans la bouche. Il n’y arrivait pas, mais prenait plaisir à éjaculer directement dans sa bouche et sur son visage. J’avais une vue ...
    ... sur son anus et ses bourses. C’était super. Je savais toujours quand il allait venir car son cul se contractait. Dans une autre chambre c’était le triomphe du doigt dans le cul chaque soir ; ailleurs, c’était les bouquins pornos pour un multirécidiviste que j’ai pu voir grimper au plafond trois fois dans la même soirée avec un sexe de plus en plus démesuré. Quant aux chambres de deux, c’était aussi la fête : concours de rapidité, mesure avec la règle, partage des mains. J’adorais tout cela, car le lendemain je les croisais tous et les entendais pérorer sur les chimères de conquêtes présumées en me rappelant la réalité de leur sexualité. Mais je ne pouvais rien dire, y compris quand deux beaux mâles passaient leur temps à utiliser un vocabulaire peu agréable envers d’autres garçons un peu introvertis, à base de « tapette », « pédé » et autres gentillesses alors que le soir arrivé, ils y allaient d’un beau 69 avant que l’un pénètre l’autre. Et ils jouaient cela chaque soir à pile ou face, en plus ! Quelle aurait été la vie du groupe si tout le monde avait osé dire son intimité… Les filles, c’était pareil. Et de la même manière, il y avait autant de techniques que d’individus : avec deux doigts, en se massant d’une manière circulaire, certaines avec l’autre main pénétrant anus ou vagin, et certaines en couple. Par contre, je sentais plus d’affection chez les filles. Elles dormaient dans le lit de celles où elles s’étaient donné du plaisir. Et j’adorais regarder leur visage, la ...
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