Blessure
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
f,
ff,
Inceste / Tabou
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
confession,
Résumé des épisodes précédents :Après une colo qui avait révélé la sexualité d’une Nathalie durant l’été 75, celle-ci fit la connaissance, lors de vacances sur une île grecque, d’une fille particulièrement sensuelle et de son cousin et sa cousine. Mais les amitiés particulières créent des tensions dans une époque où tout n’était pas aussi simple qu’on le croit ! La soirée commença nonchalamment par un mélange de piscine et d’ouzo, mais pas dans le même verre. Les tensions étaient tombées, et j’en appris un peu plus sur les uns et les autres. Jean-Marc était danseur-chorégraphe, passionné de ce qu’il faisait. Il profitait d’avoir sous la main sa sœur et sa cousine pour monter, petit à petit, quelques tableaux pour le grand projet de Bob Gloss :All that blues. Les deux danseuses répétaient les différents adages d’un groupe, l’un après l’autre. Parfois elles travaillaient des parties seules, le tout sous la direction de Jean-Marc qui parfois participait, montrait avant de voir ce qu’il avait en tête dans la peau d’une des deux. Dès qu’on parlait de danse, ils étaient envoûtés, emportés dans l’œuvre qu’on sentait naissance. Moi-même je m’intéressais à leurs discussions, voire à leurs mouvements, en général dans la piscine, ce qui engendrait des fou-rires lors de certains pas qui se terminaient par des tasses mémorables. Puis nous sortîmes de l’eau pour un dîner que j’imaginais dans le plus simple appareil (sur ce point, Jean-Marc nous avait rejoints dans l’eau en tenue ...
... d’Adam, ce qui ne m’avait pas empêchée de reluquer en connaisseuse un trois-pièces au long vit emmanché d’un bon bout, déjà entraperçu dans l’après-midi), et quelle ne fut pas ma surprise de voir les uns et les autres arriver en collants, chaussettes et tee-shirts longs. — Eh, ma belle, me dit Caroline ; fini, les fesses à l’air, à moins que tu aies envie de servir de piste d’atterrissage à un régiment de moustiques ! Je compris alors le problème, mais j’étais un peu désorientée en arrivant avec ma petite robe de plage. Hélène me proposa une de ses tenues qui, ma foi, m’allait très bien. Et c’est ainsi attifée que je passai à table enduite de citronnelle, par-dessus le marché. Adieu, abricots, bananes et fruits défendus ! Durant le repas, la conversation sur la comédie musicale se poursuivit, Jean-Marc expliquant qu’ils avaient l’intention d’en faire un film. Il semblait bien éméché car il avait bu pas mal depuis le début de la soirée. Il nous parla de son maître chorégraphe, Bob, avec admiration, finissant par nous dire à la fin qu’il était sensuel et bien foutu. — Ma parole, siffla Hélène, on dirait que t’en es amoureux !— Et alors ? répliqua soudain Jean-Marc d’un ton sec. On le regarda soudain toutes les trois, se demandant si on avait bien compris. Jean-Marc fit soudain une tête bizarre, sans doute celle de celui qui se rend compte qu’il a parlé avec son cœur et non sa raison. Soudain, Hélène éclata de rire, qu’elle refréna quand elle vit que Jean-Marc s’était levé et nous ...