Blessure
Datte: 16/06/2017,
Catégories:
f,
ff,
Inceste / Tabou
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
confession,
... rien jusqu’au lendemain. La température extérieure étant ce qu’elle était, chaude et sèche, nous nous installâmes sur les transats pour sécher en blablatant de rien et de tout. Au bout d’un moment arrosé d’une dernière bouteille de retsina rosée, Hélène bâilla et décréta qu’elle allait se coucher alors que j’avais entrepris une partie de dames chinoises avec Caroline sur la petite table entre deux transats. Elle me dit que la porte de sa chambre était ouverte au cas où je chercherais un lit et s’approcha de moi, m’embrassa telle qu’elle était, comme le frôlement d’un nuage. Du coup, je passai mes bras autour de son cou et lui rendis son baiser très tendrement, mais très sensuellement. Elle se désenlaça et nous gratifia d’un petit signe de la main. Je repris ma partie avec Caroline, et Jean-Marc alla se coucher à son tour. Je le regardai partir en espérant qu’il allait bien, et allait bien dormir après toutes ces révélations. À un moment, Caroline tarda à jouer à son tour. Elle prit un pion, le reposa, faillit dire quelque chose. Puis ses yeux s’absorbèrent dans la contemplation du carrelage de la piscine. Un long moment passa et elle marmonna dans un petit sourire : — Non mais, quelle journée !— Cela te contrarie que ton frère ait des aventures avec les garçons ? demandai-je doucement.— Non, pas vraiment ; mais c’est vrai que je m’y attendais un peu, à vrai dire. J’ai l’impression que cela lui correspond mieux. J’imagine la famille ! Et deux d’un coup : Hélène et ...
... Jean-Marc !— Il ne reste plus que toi pour sauver la famille.— Oh, moi ! Ils ne comprendraient pas tout non plus, s’ils savaient…— S’ils savaient par exemple que tu nous as matées cet après-midi, dis-je en cherchant ce regard qui restait fixé sur le carrelage. Dis donc, ajoutai-je, pour une hétéro, tu t’intéresses beaucoup aux petits minous !— Non, ce n’est pas exactement ça ! répliqua-t-elle vivement. Je m’intéresse à tout. Puis, changeant de conversation : — Dis, tu nous ressers un peu de metaxá ? Je me levai, pris la bouteille sur la table ainsi que nos deux verres, les remplis à moitié et me rassis en lui tendant le breuvage. Elle en but plusieurs gorgées. Je sentais en elle une envie de parler. C’est décidément la mode, dans cette famille. — En fait, j’aime regarder l’intimité des gens ; regarder ce qu’ils ne montrent pas aux autres habituellement. Je suis extrêmement voyeuse. Je m’en suis rendu compte la dernière année d’internat. Avant, j’avais regardé des garçons et des filles dans des activités diverses, y compris Hélène qui est capable de se branler dans une tente près de sa cousine, sans problème de pudeur, sans aucun tabou. Elle but une grande rasade de son digestif et posa le verre. — Et puis cette année-là, j’avais découvert – car je suis une fouineuse – une clé sur une porte qui menait à l’étage au-dessus de nos chambres. Nous étions sur un étage, assez long, et il y avait une sorte de grenier qui avait été consolidé, avec un sol en béton et des trappes d’aération ...