1. Laurence cachait bien son jeu


    Datte: 06/04/2018, Catégories: fh, jeunes, copains, gymnastiqu, danser, fête, douche, amour, strip, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, Oral 69, pénétratio, init,

    Laurence et moi, c’est une longue histoire, une relation un peu bizarre. Nous nous sommes rencontrés sur les bancs de l’université. Au cours de ces années, tout aussi studieuses qu’emplies de légèreté, nous partagions régulièrement quelques moments agréables, sans jamais aller au delà d’une danse, d’un échange de bons mots, d’une sortie au cinéma, au théâtre, … Je pense que nous étions attirés l’un par l’autre, mais que nous étions tout aussi satisfaits de notre complicité. Laurence, une jolie blonde, était également très réservée, presque trop timide. Elle trouvait auprès de moi une oreille, une écoute et surtout quelqu’un qui respectait ses limites. Pour ma part, j’étais plutôt extraverti, démonstratif et très à l’aise au sein de la communauté étudiante. Laurence, elle, se refermait comme une huître dès que le nombre de personnes autour d’elle dépassait le chiffre quatre. Elle avait tendance à s’éclipser ou à se faire si discrète que personne ne la remarquait. D’ailleurs à part moi et quelques amies d’enfance, je pense que son univers relationnel était fort restreint. C’était d’autant plus paradoxal que dès qu’elle se sentait en confiance, elle dévoilait une personnalité attachante. Elle était intelligente, de compagnie très agréable, et, ce qui ne gâche rien, pleine d’humour. Notre connivence ne s’étalait pas au grand jour et sa discrétion était telle que même mes copains ne parvenaient jamais à se remémorer son prénom. Notre sage relation cheminait au gré des réussites, ...
    ... des sorties, des soirées, sans la moindre vague, mais aussi sans dépasser le cadre de l’amitié. Pourtant, tout cela allait rapidement changé, à ma grande surprise d’ailleurs. C’est lors d’un stage résidentiel organisé dans un complexe sportif que tout a basculé. La semaine s’était déroulée, sans accroc, l’ambiance au sein du petit groupe que nous formions était agréable. La timidité de Laurence s’était atténuée, mais elle gardait toujours une forte propension à la discrétion. C’était le dernier jour et pour fêter l’événement (les étudiants ont toujours une bonne raison de fêter qoui que ce soit), une petite soirée dansante réunissait l’ensemble des participants. L’alcool coulait à flot, mais Laurence et moi n’étions pas particulièrement preneurs des effets ressentis par l’absorption de ces breuvages. Amusés, nous constations la perte successive de self control, le recul des inhibitions et la chute des dernières barrières de pudeur de nos camarades. « Regardes comme les couples se forment, comme les masques tombent » me dit Laurence. « C’est une évidence, pour beaucoup d’entre nous l’alcool est libératoire. Les repères s’estompent, le sentiment de puissance, d’invulnérabilité augmente, et l’insouciance prend le dessus ». « N’empêche, jamais je n’aurais imaginé qu’on puisse passer aussi vite d’une danse aux baisers et aux caresses, devant tout le monde ». En effet, les slows s’enchaînaient et certains couples s’en donnaient à cœur joie dans l’art du pelotage et de l’exploration ...
«1234»