1. Laurence cachait bien son jeu


    Datte: 06/04/2018, Catégories: fh, jeunes, copains, gymnastiqu, danser, fête, douche, amour, strip, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, Oral 69, pénétratio, init,

    ... mutuelle des corps. Je lui pris la main « Tu ne trouves pas que l’on n’est pas tout a fait dans l’ambiance ». « Si, mais moi je n’ai pas besoin d’alcool pour me laisser aller, viens danser ». Il s’agissait plus d’un jeu qui nous amusait l’un et l’autre, mais je pense aussi que Laurence voulait se prouver quelque chose, qu’elle, si prude, voulait se dépasser. Elle prit tout d’abord un soin infini à me chuchoter quelques remarques dans le creux de l’oreille, puis ses lèvres sont descendues sur ma joue pour y déposer un baiser, puis un deuxième. Enhardie, Laurence jeta son finalement dévolu sur mes lèvres et m’entraîna dans un fougueux baiser auquel je répondais. « Il y a trop longtemps que j’en avais envie » me dit-elle. « Après toutes ces années de complicité, c’est un chouette cadeau que tu m’offres, même si je ne m’y attendais pas ». « Profites-en de ce cadeau, embrasses-moi encore ». A l’image des autres danseurs, nos mains ne servaient pas uniquement à guider notre partenaire. Au fil des explorations, j’avais perçu que, sous le fin tissu de son chemisier, ses petits seins fermes appréciaient mes attentions répétées. Sa jupe, toute stricte, recouvrait sans doute un joli trésor car j’avais cru deviner un string lors d’une prise en main plus appuyée. Laurence s’attardait souvent sur mes fesses, elle semblait adorer passer de l’une à l’autre. Plutôt sage, elle ne les quittait que pour remettre nos cheveux en place après l’un ou l’autre baiser. Autour de nous, quelques ...
    ... audacieux désertaient la salle discrètement, pressés, sans doute, d’aller approfondir cette petite leçon d’anatomie. Les caresses commençaient à susciter leurs petits effets, sans cesse plus précises, plus douces, plus sensuelles, elles titillaient nos envies. Laurence me prit de cours « Une petite douche nous fera le plus grand bien » et elle m’entraîna vers la salle de gym. « Tu veux refroidir nos ardeurs ». « Tu te trompes, je n’ai qu’une envie, celle de les attiser, et pour cela je compte bien t’épater ». « Laurence, tu es bien délurée ce soir ». « Je crois que c’est aujourd’hui ou jamais. À la vue des autres, j’ai ressenti de la gêne, mais aussi beaucoup d’excitation, alors j’ai senti que j’étais prête, que moi aussi je pouvais franchir un cap ». « De quel cap parles-tu, tu n’est quand même pas … ». « Mais non, il y a longtemps que j’ai abandonné ma virginité. Ce que je veux dire, c’est que jamais je n’ai pris les devants, jamais je n’ai ressenti une telle envie, un tel désir, en fait je crois que jamais je n’ai été attirée par un homme comme ce soir ». « Je te découvres une personnalité que je n’imaginais pas ». « Et encore, je crois que tu n’es pas au bout de tes surprises ». Sur le chemin menant au gymnase, nous avions croisé quelques couples qui s’embrassaient plus que de raison, quelques seins apparaissaient et les caresses s’orientaient définitivement sous la ceinture. Mais au bout de notre parcours, le silence, la salle de gym, les vestiaires, les douches baignaient dans ...