Laurence cachait bien son jeu
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
gymnastiqu,
danser,
fête,
douche,
amour,
strip,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
... une semi-obscurité et dans le calme le plus parfait. Nous étions seuls dans ce banal vestiaire qui, en quelques minutes, allait devenir un lieu magique. Laurence semblait au comble de l’excitation « Embrasses-moi, dévores-moi, j’en ai besoin ». Patiemment je couvrais son visage de baisers tout en entreprenant un lent déshabillage, son chemisier ne résista pas longtemps. Je dévorais des yeux deux jolis petits seins enserrés dans un soutien-gorge floral de couleur bleue. Délicatement, mes mains découvrirent les petites poires et j’y déposais mes lèvres. Sous mes baisers, le corps de Laurence se contorsionnait et ses bras me plaquaient contre sa poitrine. Elle relâcha subitement l’étreinte pour s’éloigner de quelques pas. « Regardes bien, je m’offre en spectacle, rien que pour le plaisir de tes yeux ». Elle entama alors un strip-tease, digne des plus grands cabarets du genre, il ne manquait que la musique. Sous la lumière tamisée diffusée par l’indicateur de sortie de secours, la mutine savait y faire. Avec un brin de provocation, de coquinerie, toujours attentive à mon regard, elle s’effeuillait en se déhanchant sensuellement. Je découvrais, au rythme des vêtements qui se retrouvaient sur le sol, un corps de femme particulièrement bien proportionné. Sous son string (mon intuition se trouvait confirmée), un petit duvet blond, bien taillé, surplombait ses lèvres. En se retournant, elle offrait à ma vue une belle paire de fesses. « Laisses-moi de déshabiller, j’ai envie de voir ...
... si je te fais de l’effet ». « Rassures-toi, mon boxer est déjà trop petit ! ». « Vérifions cela immédiatement ». Laurence allait beaucoup plus vite pour m’effeuiller que lors de son numéro éblouissant. En quelques secondes, je me retrouvais nu comme un ver. « Je vois que tu n’es pas resté insensible, tu me sembles même très excité ». « On ne peut rien te cacher, je crois que tu m’as allumé comme jamais, vraiment, tu es très douée ». « C’est le privilège des jeunes filles sages, elles surprennent bien plus ». « On dirait que tu as des talents cachés ». « Je m’entraînais depuis quelques mois, seule dans ma chambre, mais avec de la musique. Je ne sais pas pourquoi, ça m’a pris comme ça, un soir, j’avais l’impression d’offrir mon corps aux regards de tous, alors que j’étais la seule à le voir ». « On est bien loin des jeunes filles modèles, tu es une belle coquine, et, en plus, tu es vraiment au point ». « C’est une question d’entraînement ! Mais arrêtes tes compliments, je vais rougir, et en plus j’ai envie de toi ». Nos bouches se sont trouvées rapidement, nos langues mêlées entamaient un délicieux ballet qu’accompagnaient nos mains lancées dans de douces caresses. L’excitation remontait de plus belle. Quittant ses lèvres, j’entrepris de couvrir son corps de baisers. Je la couchais sur un grand banc de bois pour entamer mon périple. Du cou en passant par les seins et les cuisses, ma langue s’attardait sur certaines partie de son corps. Très vite, l’odeur de son sexe, l’humidité ...