1. un chien qui s'ignore 8


    Datte: 06/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,

    Finalement je fus autorisé à rejoindre mon bureau. Je tentais de cacher ma joue écarlate et mon entrejambe obscène. Je restais calé à mon bureau toute la matinée et essayais de me concentrer. Laurence passait d’un bureau à l’autre, donnait des instructions. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son déhanchement provoquant. Je sentais mon sexe gonfler et rapidement être bloqué par son étui. Mes couilles cerclées par l’anneau étaient douloureuses et me rappelaient ma situation Malgré ce qu’elle m’infligeait, je fantasmais encore sur son corps voluptueux. Son autorité naturelle me glaçait le sang, mais sa prestance, son regard, son corps attirait mes yeux. Je n’étais pas le seul, je le voyais bien sur le personnel. Mais ma relation avec elle était unique ! Terrible et effrayante, mais unique ! Etrangement le fait d’être en son pouvoir me faisait trembler d’appréhension, sur mon avenir proche. Mais en même temps, j’étais presque fière de me trouver entre ses mains : au moins elle me regardait et m’adressait la parole !. Même si ce n’était que des ordres ou des insultes, j’avais de cette façon pu l’approcher et au moins avec ma langue prendre en quel que sorte contact. Je sais ce n’était que ses chaussures. Cette femme me rendait dingue, je ne savais plus où j’en étais. Je commençais à me considérer comme lui appartenant !!! Bref elle m’avait pris en main, malgré moi et le service avec !!Vint l’heure de la pause de midi, le bureau se vidait. Je fis mine de me lever pour aller ...
    ... manger (une cantine se situait dans un autre bâtiment).‘Où crois-tu aller ?’ me lança Laurence. Je dus la suivre, sans un mot bien sur. Je me surpris à encore (avoir envie de) bander, du fait de me retrouver seul avec elle, à suivre son déhanchement hypnotique des yeux. Elle me conduisit au WC, me fit entrer dans le réduit des femmes de ménage. Elle m’y enferma à clef et repartit sans un mot. La porte claqua, le silence régnait, tout le monde était parti manger. Je m’assis sur un seau retourné et attendis dans le noir la fin de la pause.Je fus finalement libéré et fus autorisé à aller à mon bureau. J’étais affamé, mais plus que tout assoiffé. Je ne pensais qu’à ça. Cela m’obsédait. Je regardais de temps à autre Laurence pour essayer d’attirer son regard. Elle ne me prêtait pas plus d’attention qu’une chaise ! Par contre les personnes du bureau me regardaient souvent. Je devais avoir une allure inhabituelle et surtout négligée. Mon comportement effacé, mon silence, mes yeux baissé sauf pour regarder ma tortionnaire, tout devait leur paraitre étrange. Moi qui la semaine dernière encore, me pavanais, lorgnais les décolletés, pinçais les culs des plus méritantes et finalement baisait la bouche de cette salope de Nolwen !Elle était partie ce matin en me faisant un clin d’œil bien visible devant tout le bureau et avait tourné du cul comme jamais, en faisant tourner la clef du cadenas autour de ses doigts !!‘Alors c’est ta nouvelle chasteté qui te met dans cet état ?’ Je relevais la ...
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