1. un chien qui s'ignore 8


    Datte: 06/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,

    ... tête en sortant de mes réflexions, Laurence se tenait à côté de mon bureau. Tout le monde était parti, la journée de bureau était finie !‘Debout, tu me suis’Après qu’elle ait fermé les bureaux, je la suivis à sa voiture. Comme ave ma femme, ma place fut désignée dans le coffre. Cette fois celui-ci était étanche et je me retrouvais dans le noir. Le voyage me parut long. Je n’étais jamais allé chez elle.Elle m’ouvrit le haillon et je descendais pour entrer par le garage de sa maison pavillonnaire.Elle me poussait régulièrement, jusqu’à me désigner une porte au fond du garage. Tu te déshabilles et tu m’attends là. Elle éclairait la pièce toute en longueur, sans fenêtre.Elle revint rapidement, je l’attendais nu, équipé uniquement de cette cage de chasteté. Elle apportait une sorte de gros collier à sangle, du même type que j’avais déjà porté ce weekend avec ma femme, me le passa autour du cou en m’ayant ordonné de me mettre à genoux. Je ne réfléchissais plus, battu, abattu. Le collier ressemblait plus à une minerve finalement, au fur et à mesure qu’elle resserrait les sangles dans ma nuque. J’étais obligé de relever le menton pour soulager mon visage, ma gorge devenait comprimée. Elle serra ensuite un lien qui fini par me comprimer du haut du dos jusqu’au haut de la nuque. Ma tête se retrouvait immobilisée. Des mauvais souvenirs remontaient à ma mémoire. Elle finit par passer un collier métallique sur la minerve équipé d’anneaux.J’entendis le bruit caractéristique de mise en ...
    ... marche d’un treuil électrique, sentis des câbles qui venaient s’arrimer dans les anneaux. Elle commanda le treuil qui enroula visiblement un câble au dessus de moi, car je dus vite me relever, le collier me tirait au plafond. Je me retrouvais finalement debout et par quelques impulsions sur la commande, le câble me força à me mettre sur la pointe des pieds. Par reflexe, je levais les mains pour tirer sur le câble soulager la tension. Je tournais sur moi-même en essayant de trouver la position qui me permit de soulager ma respiration. Elle se plaça devant moi, d’un air satisfait. Je respirais par la bouche grande ouverte, les biceps contractés sur me tirer vers le treuil au dessus de moi, je tanguais sur mes gros orteils.‘Ca va te faire réfléchir à ta situation et ton comportement. Quant à moi je vais me changer, manger un morceau pour reprendre des forces. Je reviendrai tout à l’heure pour te punir comme je te l’ai promis. Tu vas dérouiller..’Elle partit et monta l’escalier qui menait à l’étage. Je tentais de reprendre mon calme et prendre une respiration régulière.Mais je ne pouvais m’ôter de l’esprit ce que m’avait ‘promis’ ma tortionnaire.Le temps me paraissais long, j’avais froid, nu comme un vers, anxieux je tremblais de tous mes membres. Mes gros orteils, seul contact avec le sol froid, me faisaient mal, tout comme mes chevilles en extension. Je n’avais pas notion de l’heure dans cette position et cette pièce sans fenêtre, vraisemblablement creusée sous le sol. J’espérais ...
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