Anne et moi nous retrouvons seules à nouveau
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
inconnu,
campagne,
caférestau,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
jeu,
yeuxbandés,
piquepince,
ecriv_f,
... un juste équilibre.— Et depuis, vous avez arrêté vos… jeux ?— Non, pas du tout, nous continuons mais différemment, Marjorie aime presque encore plus être dominée, maintenant qu’elle me fait entièrement confiance, elle s’abandonne à moi.— Mais toi, alors, tu prends le même plaisir ?— Oui, nous jouons toujours un jeu, mais là nous sommes un couple et nous partageons les choses, je sais qu’elle aime ces jeux par goût. Parfois nous inversons les rôles et nous y trouvons beaucoup de plaisir.— Et tu crois que moi et Anne ?— Toi et Anne, vous faites aussi un beau couple d’amantes, c’est sûr, mais tout ça est très neuf pour vous. En plus, je crois que vous n’êtes pas vraiment lesbiennes, vous aimez avant tout le sexe et tout ce qui tourne autour.— C’est vrai, mais elle m’attire et je crois que c’est réciproque.— Laisse un peu couler d’eau sous les ponts, je suis sûre que vous saurez trouver des solutions qui vous conviennent. Marjorie nous appela pour le petit déjeuner. Anne et Marjorie déjà habillées, nous regardèrent avec envie, Alia et moi, nues, dans l’escalier, mais le temps les pressait et à mon plus grand regret, nous nous retrouvâmes attablées. Je devinais sans peine dans le regard d’Anne qu’elle avait fait l’amour avec Marjorie. Je sentais sa jambe me caresser sous la table. Alia et Marjorie une fois le petit déjeuner terminé, se faufilèrent vers la salle de bains et moi je me faufilais vers Anne pour l’embrasser langoureusement. Je sentais sur son visage, l’odeur du sexe ...
... de Marjorie, presque un peu âcre. Je voulais enlever sa robe mais d’un geste elle m’arrêta me faisant signe d’attendre encore un peu. J’obtempérais, si j’avais su, j’aurai sauté sur Alia tout à l’heure, pour ne pas être aussi frustrée. Nos amies ne tardèrent pas à sortir de la salle de bains et après nous avoir embrassées, elles nous quittèrent non sans nous avoir rassurées en nous promettant des retrouvailles proches. Nous regardions la camionnette s’éloigner, Anne serrait ma main dans la sienne. Une fois à l’intérieur, je l’embrassai, espérant pouvoir enfin la débarrasser de sa robe. Cette fois, elle repoussa ma main et m’indiqua un siège. Curieuse, je m’installai et Anne se posta devant moi, me tournant le dos. Elle déboutonna lentement sa robe pour révéler un curieux ensemble de fines chaînettes brillantes. Son corps était parcouru par un réseau apparemment inextricable de liens et d’anneaux. Une chaînette passait entre ses fesses, et disparaissait dans ce sillon que j’aimais tant. Elle se retourna doucement en me souriant. Ses jolis seins étaient emprisonnés eux aussi, ses tétons étaient recouverts d’un morceau de scotch noir mais je devinais facilement qu’ils pointaient malgré cette barrière. Les chaînettes disparaissaient entre ses jambes, Anne écarta les cuisses et je pouvais voir ses lèvres pressées par le métal brillant. Elle s’agenouilla et embrassa mes pieds, puis les lécha longuement. Je jouais le jeu et écartais les jambes pour lui permettre de continuer plus ...