Anne et moi nous retrouvons seules à nouveau - Histoires de Sexe

Anne et moi nous retrouvons seules à nouveau

... haut. Anne enfouit son visage entre mes cuisses et me dévora. Mes soupirs se transformèrent rapidement en halètements et elle m’envoya au ciel alors que j’appuyais sa tête contre mon sexe. Elle se releva, m’embrassa et se blottit contre moi. — Merci Anne, c’était merveilleux !— Comment tu trouves mon ensemble ?— Très excitant, ça ne te serre pas ?— Non, mais Marjorie m’a montré comment l’utiliser. Je peux y placer plein de choses et ça reste discret.— Comme quoi ?— Des pinces, des anneaux métalliques, des plugs.— Tu me le feras essayer ?— Oui, bien sûr mais en attendant, je le garde.— Pas de problème, Anne.— Fabi…— Oui ?— Il faut que je parte cet après-midi.— Oh non, reste s’il te plaît !— Je ne peux pas, il faut impérativement que je participe à une réunion demain. C’est moi qui l’organise et je ne peux pas déléguer…— Tu ne me l’avais pas dit ! J’étais fâchée contre elle, et elle le sentait. — Je regrette vraiment, tu sais, j’aimerais rester avec toi ici, mais si je n’y vais pas je risque gros…— Mais, si nous avions été coincées par Françoise ?— Je ne sais pas ce que j’aurais fait… Je pense que j’aurais utilisé le mot de passe.— Oui, bien sûr…— Tu m’en veux ?— Oui, je t’en veux, je me réjouissais de passer encore quelques jours avec toi et tu pars dans deux heures, bien sûr que je t’en veux.— Il y a une autre solution.— Laquelle ?— Tu sais, tu peux venir avec moi si tu veux, je t’invite chez moi, même si je suis au travail la journée, je te retrouverai le soir.— Je ne sais ...

... pas, je … je vais réfléchir. Je savais très bien que je ne pouvais résister à son offre. — S’il te plaît, ne me fais pas la tête, c’est très important pour moi et si tu veux, je ferai tout ce que tu voudras pour me faire pardonner.— Tout ce que je voudrais ?— Tout, je te le promets Fabienne !— Alors c’est d’accord. Mais en dehors de tes horaires de travail, tu seras entièrement à moi !— Entièrement à toi, je te le promets.— Bon, alors allons nous préparer. J’allai vers la salle de bains et réalisai que j’avais toujours mon collier en voyant mon reflet dans le miroir. Je demandais à Anne si elle pouvait aller chercher une pince à côté pour m’en débarrasser. Elle revint avec une vielle pince un peu rouillée mais qui était suffisamment solide pour couper l’arceau du petit cadenas. Une fois ôté, je mis le collier dans mon sac à toutes fins utiles. Anne commença à ôter ses chaînes, je l’arrêtai, lui intimant de les garder. Anne obtempéra sans broncher et nous nous prîmes une douche en nous caressant mutuellement. J’avais pris soin de demander à Anne de mettre des vêtements appropriés : une robe cachant l’essentiel, à savoir les chaînettes qui ornaient son corps, et des talons hauts. J’enfilai pour ma part un body bien échancré et un short très court puis je demandai à Anne de lacer mes chaussures. J’adorais ça, ses mains caressaient mes pieds, nouant les fines bandelettes de cuir autour de mes chevilles et de mes mollets. Une fois prêtes, les affaires dans le coffre, je fermai la ...