Madame de Marans - Histoires de Sexe

Madame de Marans

... qui me représente en train de sucer ce chibre énorme -en réalité, Monsieur de Reynal l’a long et épais, mais pas aussi énorme que sur la toile- j’apprécie le plus les scènes d’amour lesbien. Pas toi, Élodie ?— Pour sûr, Madame, elles sont très suggestives— N’est-ce pas ! Madame de Marans adresse un léger signe de tête à la soubrette. Comme s’il s’agissait d’un signal, celle-ci commence à dénouer le corset de sa maîtresse. Caroline, toute à son excitation, ne réagit même pas : c’est comme si elle attendait cela depuis qu’elles ont pénétré dans la pièce. Sans un mot, Madame de Marans commence elle-même à se dévêtir. Son corps est fait pour l’amour et la sensualité : une lourde poitrine encore ferme aux bouts dressés, une taille fine, des fesses bien galbées. Son pubis est totalement épilé, tout lisse, orné d’une vulve aux lèvres protubérantes. Caroline se laisse ôter son corset et ses jupons, sans pouvoir encore détacher son regard du tableau dont elle examine avec intérêt tous les détails. Elle se retrouve rapidement en escarpins et bas. Madame de Marans lui caresse l’épaule. Élodie ôte prestement ses vêtements, puis se rapproche d’elle et commence à lui caresser l’autre épaule. Lorsqu’elle aperçoit la main de la maîtresse de maison descendre dans son dos, vers les reins puis la croupe, elle commence à caresser le sein droit de sa maîtresse. Les deux femmes vont, c’est sûr, rivaliser d’imagination pour séduire Caroline. — Oh, regardez, ici, ces trois femmes disposées en ...

... cercle qui se lèchent le sexe l’une l’autre !— Cette scène vous excite ?— Oui beaucoup. Ça doit être délicieux— Vous aimez vous faire lécher ?— Je ne sais pas— Mais si, Madame, elle fait l’innocente, mais elle adore se faire bouffer la chatte ! Elle est arrivée hier à Paris, et déjà hier soir elle m’a fait lécher son joli minou.— Ma foi, vous me semblez déjà bien partie sur les traces de votre merveilleuse mère ! Savez-vous que Madame votre mère est réputée dans toute la cour pour qu’il ne se passe pas une journée sans qu’elle ne fasse l’amour à une femme ! Je ne crois pas que cela soit vrai, et elle aime les hommes aussi. Mais moi aussi, j’adore me faire lécher par une autre femme. Est-ce que vous l’avez déjà fait ?— À vrai dire, pas très souvent, mais oui, je l’ai déjà fait… Je l’ai fait à Élodie ce matin, et c’était bien agréable.— Venez sur le lit ! Madame de Marans s’allonge sur le lit. Elle écarte largement les jambes, offre son sexe glabre ouvert comme une fleur, et commence à se caresser les seins. Les deux jeunes filles excitées la contemplent, fascinées par ce sexe béant qui appelle les caresses. Elles s’approchent du lit. La forte odeur du sexe de Madame de Marans les excite. — Venez, ma chère enfant. Couchez-vous à côté de moi. Élodie et moi, nous allons d’abord nous occuper de vous. N’est-ce pas, Élodie ?— Oui Madame, à votre service.— Élodie va d’abord vous masser la poitrine.— Comme ceci, Madame ?— Oui, très bien. Vous avez de très beaux seins, vous savez. Ils sont ...